1. Hélène, ma femme ; Yasmina et moi


    Datte: 10/06/2021, Catégories: fh, ffh, fbi, hplusag, fplusag, couleurs, toilettes, telnet, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme fgode, pénétratio, fdanus, Oral jouet,

    Un soir en pianotant sur un site de rencontres « sensuelles » selon l’accroche publicitaire, ma femme, Hélène, 42 ans, femme au foyer maintenant et mère de mes deux petits chéris, entra en contact avec une jeune beurette homosexuelle âgée de 22 ans. Cela faisait un bail qu’elle avait laissé tomber la drague sur l’internet, fatiguée par les faux profils derrière lesquels se cachent des hommes recherchant un échange épistolaire épicé. Toujours trop nuls pour la prendre en défaut. Les sœurettes ont une manière bien à elles de roucouler. Mais son envie de chasser et de rencontrer de nouvelles femmes restait toujours intacte, pour notre plus grand bonheur. On en avait reparlé dernièrement. Recommencer à chercher de la lesbienne ou de la bisexuelle à son âge, en dehors de l’internet, était devenu une activité risquée. Plus question pour nous d’écumer les boîtes comme nous le fîmes par le passé. Eu égard à ma position sociale – je suis juge près du Tribunal de première instance de l’arrondissement judiciaire où nous sommes nés et avons toujours vécu – et sans parler de la différence d’âge – un couple quarantenaire dragueur, même trentenaire, au milieu de jeunes gens – cela fait désordre ! Il y a bien un club libertin en ville, mais nos trois incursions dans ce milieu, lointaines maintenant, ne nous avaient pas donné satisfaction. Aucunement pour des raisons d’ordre moral, bien évidemment, ou de classe sociale. Simplement parce que, du fait de la taille de notre ville, son ...
    ... microcosme libertaire y est très restreint et que nous n’avions aperçu aucune femme à notre goût lors de ces trois soirées. Nous aimons les femmes qui ont du chien. Surtout mon épouse ! Elle m’avait avoué son attirance pour le beau sexe bien après notre mariage. J’en fus surpris. Jamais rien, dans son comportement, par allusions ou autres signes, ne m’avait alerté avant cette confession. Elle a toujours eu, certes, du tempérament mais de là à imaginer son attirance pour la gent féminine, c’était tout simplement impensable. Éducation stricte avec une mère enseignant le catéchisme, études secondaires en pensionnat dans un collège catholique renommé et tout le toutim. L’habit ne fait pas le moine ! Cet adage lui allait comme un gant. On laissa passer l’eau sous les ponts avant d’aborder le sujet plus en profondeur. Je garde le souvenir d’une conversation quelque peu décousue mais franche et sincère. Il en ressortit que j’acceptais sa déviance, qu’elle la vive, mais à la seule condition que je sois averti de ses entreprises en amont afin de circonscrire ensemble les risques encourus. Nous étions convenus d’un commun accord qu’il était hors de question que cela se passe avec des personnes de notre entourage, que ses escapades se cantonnent à l’aspect sexuel de la chose et sans frénésie quant au nombre de conquêtes. Je risquais gros dans l’affaire. Je l’aime et ne tenais pas à la perdre. Elle me rassura autant qu’elle le put en me convainquant qu’il s’agissait bien d’attirance physique et ...
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