Hélène, ma femme ; Yasmina et moi - Histoires de Sexe

Hélène, ma femme ; Yasmina et moi

... problème, elle est d’accord. Elle trouve cela très excitant et se réjouit déjà d’y être. Mais je te préviens, c’est une pure lesbienne. Moi — Soit ! À toi d’être convaincante ! Hélène — Je pense que cela devrait le faire. Aux toilettes, elle m’a directement entraînée dans une cabine. Nous nous sommes longuement embrassées et elle n’a pas arrêté de me peloter. La moindre carie ou début de tumeur mammaire n’aurait pu échapper à cette inspection en règle, crois-moi bien ! Elle est très douce et entreprenante. J’ai dû la retenir d’en faire plus. Cette fille est bouillante et je lui plais. Moi — Vous vous êtes bien trouvées. Deux belles pouffiasses ! Hélène — C’est pour ça que tu m’aimes en partie, mon chéri, non ? Moi — Je vais lâcher dans mon froc ! Hélène — Je suis dans le même état que toi. Viens, suis-moi, me dit-t-elle. Hélène me conduisit au sous-sol dans les toilettes Hommes. Personne ! On s’isola dans une cabine. Ni une ni deux, elle s’agenouilla devant moi en prenant bien soin de ne pas filer ses bas, sortit un petit vibro de son sac à main ; se l’introduisit facilement, toujours bien trempée par la séance de lèche et de caresses ; puis déboutonna ma braguette, en sortit ma verge et pompa énergiquement en serrant bien les lèvres. La surplombant, je pouvais admirer les deux bosses que formait sa poitrine dans le top ainsi que son arrière-train bien serré dans la jupe. Que de courbes ! Dans les deux à trois minutes qui suivirent, je m’abandonnai dans sa bouche sans ...

... retenue. L’instant d’après, ses cuisses se contractèrent. En se relevant, elle me fit un sourire que je rendis bien volontiers. Cette complicité, cette harmonie nous emplit à nouveau d’une joie intense. Cet état de grâce, qui suivait généralement nos orgasmes, nous incitait à toujours nous laisser aller à nos humeurs sensuelles du moment. Bien souvent nous nous demandions si ce n’était pas la recherche cet état post-orgasmique qui était le moteur principal de notre envie d’étreintes ! De retour à la maison, profitant de l’absence des enfants en week-end chez mes beaux-parents, nous remettons le couvert dans le hall d’entrée. Hélène retrousse sa jupe, s’appuie bras tendus sur l’angle de la tablette de la commode Art Déco et me tend son cul. J’écarte l’entrejambe de sa culotte et la prend tout de go par derrière. Sous mes coups de rein, le meuble se mit à trembler, à glisser sur le carrelage. Lampe d’appoint, vase, cadres photo (bonsoir papa, bonsoir maman) valsèrent à terre ! Nous les rejoignîmes, hébétés par l’intensité de notre orgasme ! Les jours précédant un trio sont généralement sujets à remplacement de bibelots divers, réparation de pieds de table, de lit… Nos enfants, ado maintenant, ne manquent de nous faire quelques remarques bien senties à ce sujet. Ne connaissant pas la véritable raison de notre regain d’activités sexuelles, la raison cachée à tout ce remue-ménage, nous nous contentons de les laisser à leurs conjectures. Le jour dit, Yasmina vint nous rejoindre à la ...