1. Hélène, ma femme ; Yasmina et moi


    Datte: 10/06/2021, Catégories: fh, ffh, fbi, hplusag, fplusag, couleurs, toilettes, telnet, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme fgode, pénétratio, fdanus, Oral jouet,

    ... sorte que celle-ci se sente automatiquement en confiance, à l’aise en sa présence. Après quelques échanges de courriel ayant pour but de s’assurer de la véracité du profil, un rendez-vous est pris afin de juger sur pièces. Elles convinrent d’une date en début de soirée dans une brasserie en ville. Lieu assez vaste et fréquenté par une foule lambda. Plusieurs endroits dans cette brasserie, des boxes principalement, permettent à ma femme de rencontrer ses proies de manière à pourvoir discuter, flirter en toute tranquillité ; sans éveiller de soupçons de la part de gens présents et, ô combien important, de me laisser assister à leurs approches. Le jour venu, Hélène s’apprêta : cheveux en chignon, maquillage léger, tailleur-jupe gris clair en laine agrémenté de très fines lignes blanches ; top blanc à bretelles en matière synthétique très souple, mettant en valeur sa poitrine généreuse en la moulant quelque peu ; ensemble lingerie trois-pièces noir avec bas noirs transparents, escarpins ouverts. Style profession libérale, cadre supérieur et un peu vieille-France sur les bords. J’adore, sachant ce que je sais d’elle. Nous nous rendîmes à l’endroit convenu et nous installâmes séparément. Yasmina se pointa à l’heure dite. Ma femme la héla de la main et son rendez-vous la rejoignit aussitôt dans le dernier box de la rangée. Étant placé en bout de bar mais face à elles, je pouvais assister à la scène tout en étant mélangé à d’autres personnes présentes tout au long du comptoir. ...
    ... Yasmina portait des chaussures à talon, un pantalon en fine laine noire enserrant bien les cuisses et les fesses ; un chemisier brun foncé légèrement satiné, déboutonné juste ce qu’il faut pour laisser entrevoir le début de la raie formé par les seins ; cheveux laissés au naturel recouvrant les épaules. Elle s’assit sur la banquette, très près d’Hélène, lui fit la bise et lui pris la main comme deux vieilles amies le feraient. Les deux mains jointes disparurent aussitôt, cachées dans l’obscurité générée par le plateau de la table. Elles se complimentèrent sur leur tenue respective. Yasmina passa sa main libre sur l’une de ses cuisses puis fit glisser ses doigts le long du revers du tailleur de mon épouse pour en éprouver la souplesse, la qualité du tissu, la finesse du tramage. Croyant pourvoir profiter de cet instant, Hélène ne put s’empêcher de jeter un regard dans le décolleté de la jeunette. Celle-ci s’en aperçu tout de même et n’en m’éprouva aucune gêne. Elles papotèrent environ une demi-heure en ne se quittant pas des yeux. Les affaires allaient bon train. Puis la jeunette se leva, emmenant avec elle son sac à main, suivie de ma femme qui fit de même et prirent le chemin des toilettes les menant au sous-sol. Elles réapparurent dix minutes plus tard, se firent la bise et Yasmina quitta les lieux. Je rejoignis Hélène à sa table, les joues encore rougies. Moi — Ça gaze entre vous deux ! Je me trompe ? Hélène — Non, elle est super. Je lui ai parlé de notre fantasme. Pas de ...
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