1. Un amour d'été


    Datte: 11/06/2021, Catégories: fh, fplusag, jeunes, inconnu, oncletante, fépilée, vacances, plage, ascenseur, douche, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, pied, chaussures, rasage, pénétratio, mélo,

    ... reflétait les derniers éclats de la lumière du jour. Il la caressa lentement et posa ses lèvres sur les tétons encore durs de Geneviève. — Ils sont très beaux, complimenta-t-il. Elle avait le sexe en feu, tant leurs ébats avaient été intenses ; la sève de Paul s’écoulait du haut de ses cuisses, mais elle n’en avait cure, seule comptait la volupté de l’instant présent. Le temps de rassembler ses esprits, Geneviève commença à évaluer les dégâts provoqués par leurs ébats d’un coup d’œil circulaire, coussins à terre, vase renversé, revues froissées… un vrai champ de bataille. À quelques menus détails près, la pièce avait retrouvé son apparence originelle lorsque les clés de Taty Danielle tournèrent dans la serrure. — C’est nous ! lança-t-elle d’un air enjoué, ça n’a pas été trop long ? Virginie eut du mal à se retenir de pouffer ; l’esprit un peu embrumé par les trois Martini successifs, elle avait du mal à contenir son hilarité. Fine mouche, sa Tante expliqua que la gamine les avait fait beaucoup rire en racontant son voyage à côté d’une grosse dame qui était sa voisine de siège et qui avait été fort désagréable pendant tout le temps que le vol avait duré. La ficelle était un peu grosse, mais tous avaient de bonnes raison de l’accepter. Au cours du dîner, Taty Danielle les interrogea sur leurs plans du lendemain. Ils devaient tous remonter sur Paris, mais à quelle heure ? Voulaient-ils que Taty prépare des sandwichs ? À boire ? Les filles avaient-elles pris le linge fraîchement ...
    ... repassé ? Autant d’aspects logistiques qui les dégrisèrent et leur fit reprendre brutalement le contact avec les réalités. Taty Danielle enrôla Paul pour préparer le lit d’appoint de son bureau. Un véritable petit bureau meublé de bois sombre et tendu de tissu vert. Un petit lit, à mi-chemin entre une méridienne et un véritable lit bateau occupait le pan de mur opposé à la fenêtre. — Vous verrez, il n’est pas très grand mais il est très confortable, expliqua-t-elle en éprouvant le moelleux du matelas. Ils y jetèrent une paire de drap et une couverture légère qu’elle borda méthodiquement. Paul avait à nouveau les yeux rivés aux pieds de Taty Danielle — Eh bien mon garçon, vous rêvez ! dit-elle sur air de provocation. Paul rougit de confusion et protesta pour la forme : — Non, non, je pensais au voyage de demain.— Ah, effectivement, feignit d’admettre Taty Danielle. Elle attrapa un oreiller dans un des meubles, l’emmaillota dans une taie et le jeta à la tête de Paul qui ne s’attendait pas à cette facétie ! Elle rit de son embarras, le lui reprit des mains, le tapota pour le faire gonfler et le déposa avec soin à la tête du lit. — Voilà, comme ça vous ferez de beaux rêves. Paul eut soudainement envie de la prendre par la taille, de l’attirer à lui, de sentir son corps contre son corps, de lui voler un baiser sucré. À l’opposé de sa soudaine pulsion, sa volonté était annihilée, et il eut la sensation que toute force l’abandonnait. Il devint un peu pâle et son hôtesse s’en aperçu. ...
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