1. Un amour d'été


    Datte: 11/06/2021, Catégories: fh, fplusag, jeunes, inconnu, oncletante, fépilée, vacances, plage, ascenseur, douche, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, pied, chaussures, rasage, pénétratio, mélo,

    ... peine un quart d’heure… Bon, bon, je vois ça avec Taty. Et Virginie d’expliquer que Sophie, la fille d’une amie de sa mère devait faire un transit entre l’aéroport et la gare, que la personne qui devait s’occuper d’elle s’était cassé le bras et qu’il fallait à tous prix convoyer la gamine de 12 ans pour qu’elle ne rate pas sa correspondance. — Bref, la galère.— Bien écoute ma chérie, je t’emmène avec ma voiture et de toutes manières, je ne la connais pas cette gamine. Et vous, Paul et Geneviève, vous sortez le poisson du four, vous le remettrez d’ici une heure avec le gratin de courgettes. OK ? On est partis. Deux minutes plus tard, tels deux puissants aimants, Paul et Geneviève se ruaient l’un sur l’autre et s’étreignaient sans retenue. Paul voulait tout toucher, tout de suite, tandis que Geneviève gémissait de désir. De l’autre côté de la porte d’entrée, Taty Danielle et sa nièce ne manquèrent pas une miette des cris et vagissements qui emplissaient l’appartement. Elles se retirèrent discrètement de peur d’être surprises dans une situation inconfortable par un voisin de palier. Leur stratagème avait réussi sur toute la ligne : la copine de Taty Danielle avait appelé à l’heure prévue, le reste n’avait été qu’un jeu d’enfant. Tandis qu’elles sirotaient le prolongement de leur apéritif dans un proche café, elles riaient de leurs facéties et imaginaient la scène : Geneviève sur Paul, Paul sur Geneviève, debout, assise, accroupie. Effectivement, le spectacle qu’offraient les ...
    ... deux jeunes amants ne manquait pas de piquant. Paul fouillait vigoureusement la poitrine de Geneviève, son ventre, ses cuisses, ses pieds. Geneviève repartait inlassablement à l’assaut des lèvres de Paul, glissait sous l’effet des caresses, lui plantait les ongles dans les bras pour s’agripper à lui. D’un geste expert, il déboutonna la jupe de Geneviève qui glissa en dévoilant la nudité obscène de Geneviève. Il ne put s’empêcher de pousser un petit cri admiratif qui décupla les envies de sa partenaire. Il s’installa entre ses cuisses et déposa de petits baisers nerveux sur les lèvres offertes de Geneviève, mais celle-ci impatiente le tira à elle et s’appliqua à déboucler sa ceinture, déboutonner son pantalon de toile qu’il fit glisser en le repoussant avec les pieds. — Oui, oui, oui, appela-t-elle. Elle le provoqua même par quelques mots crus et bien choisis. C’est ainsi « qu’elle fut prise », « qu’il lui mit toute », « qu’il ne s’arrêta pas » y compris quand elle hurla littéralement dans le seul unique et formidable orgasme qu’elle eut. En nage, elle vint se réfugier dans ses bras reprenant progressivement son souffle. Car elle s’était finie toute seule, empalée sur son amant, gigotant comme une damnée, les seins débordant de dessous son bustier, battant le rythme de leur ébats. Elle avait senti le sperme chaud gicler contre son utérus et s’était abandonnée à son tour. Paul pouvait à présent la contempler tout son saoul, petit animal craintif, blotti contre lui. Sa peau humide ...
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