1. Un amour d'été


    Datte: 11/06/2021, Catégories: fh, fplusag, jeunes, inconnu, oncletante, fépilée, vacances, plage, ascenseur, douche, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, pied, chaussures, rasage, pénétratio, mélo,

    ... copains, célibataires, hétéros, homos, des tas. Ils font des voyages, des sorties sportives, mais je ne crois pas qu’un seul ait passé la nuit rue des Mimosas. Des copines, je ne dis pas, mais elle est tellement secrète sur ce chapitre… c’est ce qui a fait sa réputation. De toutes ces histoires, Geneviève n’avait cure. Rapidement rincée du sel et de la sueur accumulée pendant la journée, elle avait décidé de consacrer du temps à parfaire les apparences de son corps. Elle avait inspecté l’épilation de ses aisselles, le satin de ses jambes, remontant vers son pubis dont l’ordonnancement de la toison la laissa insatisfaite. Agenouillée dans le vaste collecteur de la douche, elle ouvrit les cuisses, se couvrit de mousse à raser et joua habilement du rasoir. Se rinçant, elle contempla le résultat : une barrette claire, régulière et drue couvrait ses grandes lèvres. « Pas assez provoquant » estima-t-elle. De nouveau elle se prépara à la tonte et fit aller et venir le rasoir qui se satura rapidement en poils pubiens. Le résultat était assez satisfaisant. La barrette s’était réduite à un trait prononcé, peu épais. Elle distinguait facilement sa fente à travers sa courte toison. Jamais Geneviève ne s’était aventurée aussi loin dans ses efforts pour paraître sexy. C’est justement Virginie qui lui avait appris à se faire le « slip » pour l’été. Poussée par une pulsion, sans même s’enduire de crème, elle se rasa intégralement. Au bord de l’orgasme, elle fit disparaître les dernières ...
    ... traces pileuses, se rinça et s’amusa à faire poindre son clitoris agacé. Elle fut tentée de se caresser, mais alors à quoi bon tous ces préparatifs, si Paul n’était pas invité à la fête. Le cognement sur la porte la ramena à la réalité. — Apéro dans cinq minutes. Elle conserva son body fétiche et troqua le short pour une courte jupe portefeuille en jean, sans slip. Géneviève se sentait des ailes et un appétit dévastateur. La peinture impressionniste s’invita pour l’apéritif : ils découvrirent ce goût commun pour une époque prolixe en œuvres à présent réputées. Geneviève se voyait en Olympia et même incarnée dans la jeune femme du déjeuner sur l’herbe. Naturelle à force d’être impudique. Elle rayonnait de désir et Virginie qui la connaissait quasiment sur le bout des doigts décoda tous ces signes, à commencer par l’absence de culotte que les croisements de jambes répétés de Geneviève mettaient en évidence. Le téléphone sonna. Chacun resta interdit, car cet instrument de communication pourtant courant était pratiquement inactif chez Taty Danielle : elle préférait l’écriture, y compris électronique et même les déplacements. Elle trouvait le téléphone hypocrite et malsain : avec ces téléphones portables, qui sait d’où appellent les gens. — Ah, c’est toi, oui je te la passe, oui oui, tout va bien. Virginiiiie ! c’est pour toi, ta mère.— Allo, oui maman, très bien, très bien, et toi. Ah ? Et à quelle heure ? 8 heures ? Tu veux dire 8 heures du matin ? Non ? 20 heures, mais c’est dans à ...
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