Douce France
Datte: 11/06/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jalousie,
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
coprolalie,
attache,
fouetfesse,
confession,
couple,
... lui parler de moi discrètement afin qu’il comprenne que la place était prise et qu’il n’y avait rien à espérer d’elle. Ça l’avait fait rire à nouveau. Elle lui avait parlé de moi dès le début, et à plusieurs reprises, mais ça ne l’avait pas calmé le moins du monde. Elle avait parfaitement compris à qui elle avait affaire, ce qu’il cherchait, et il n’était pas question qu’elle lui passe son numéro. Dont acte. Il ne m’en fallait pas plus pour relancer ma fabrique à fantasmes et j’imaginais ma Karen à ses cours de salsa. Je la voyais danser avec son Antillais. Placé derrière elle, bavant sur son cul fantastique et toujours plus collant, ce type détestable ne faisait rien pour masquer la taille de son désir. J’imaginais ma Karen qui, contrairement à ce qu’elle affirmait, ne faisait absolument rien pour l’éviter. À la longue, plus que troublée par le joli calibre de la proposition qu’elle ne pouvait ignorer, elle finissait par craquer en se disant :« Allez, merde, après tout, ça ne peut pas faire de mal. Personne n’en saura rien, et puis ça serait dommage de passer à côté d’un truc pareil. » Parce qu’à force de la connaître, ma Karen, je savais que c’était tout à fait le genre de réflexion qui pouvait lui traverser l’esprit. Et surtout le genre d’envie qui pouvait lui traverser le reste. Et puis je voyais bien comme elle se comportait face à ma bite, somme toute assez banale… Alors… si on lui présentait un truc bien balèze… avec la passion qu’elle avait pour ça… Je visualisais ...
... des scènes. Ma Karen, son Antillais, les toilettes du club où elle allait danser… une prestation vite fait bien fait… ou plusieurs ? Et régulières ? Et les heures qu’elle passait parfois seule en ville… elle était vraiment seule ou elle allait le rejoindre quelque part ? Qu’elle ait refusé de lui passer son numéro ou pas, qu’est-ce que ça changeait ? Il suffisait qu’elle ait le sien et qu’ils se soient mis d’accord pour que ce soit toujours elle qui appelle. En y réfléchissant un tout petit peu, c’était beaucoup plus discret comme ça. Et Karen, la discrétion, ça avait toujours été une de ses spécialités. Les mois passaient, mais pas mes tourments. Les vilains secrets que je lui prêtais m’excitaient toujours plus. Elle m’ensorcelait, elle occupait toutes mes pensées. Avec ou sans son Antillais dans le tableau, pour moi, ça ne changeait pas grand-chose. Il suffisait par exemple qu’elle aille passer quelques jours en Angleterre pour que je recommence à ruminer mes habituels scénarios. J’imaginais qu’elle en profitait pour retrouver un ex, ou pas ex, ou qu’elle allait s’amuser avec des copines plus ou moins bien intentionnées, et je lui en connaissais quelques-unes. À son retour je la testais, lui posais des questions, j’essayais de savoir ce qu’elle avait fait, où elle était allée, qui elle avait vu ou revu. Mais elle avait passé l’essentiel de son temps en famille et je n’obtenais que très peu de détails. Si elle montrait moins d’entrain que d’habitude pour les choses du sexe, ou ...