1. Douce France


    Datte: 11/06/2021, Catégories: fh, hplusag, jalousie, Masturbation facial, Oral pénétratio, fsodo, coprolalie, attache, fouetfesse, confession, couple,

    ... si je l’interprétais ainsi, j’en concluais qu’elle s’était tellement rassasiée lors de son petit séjour anglais qu’elle avait moins envie de moi. Je me disais que, forcément, organisée comme elle l’était, elle devait avoir conservé quelques bonnes adresses, et qu’elle ne s’était pas privée d’en user et d’en abuser avant de retrouver son quotidien avec moi. Quotidien qui, dans mon esprit, lui paraissait forcément beaucoup plus fade que ce qu’elle vivait dès qu’elle retrouvait sa liberté sur ses terrains de chasse familiers. Bref, je délirais carrément. J’avais parfois du mal à le cacher et, quand elle n’avait pas envie de répondre à mes questions, de son accent délicieux elle savait me désamorcer et me taquinait encore : « Mais c’est qu’il veut tout savoir, mon petit enquêteur ! » Sexuellement, d’autres barrières cédaient. On se lâchait, comme on dit. Lors de nos ébats, elle me faisait découvrir un lexique anglophone assez spécialisé qui ne cessait de m’étonner et, si elle continuait de progresser en français, je ne suis pas près d’oublier la première fois où elle alla jusqu’à s’énerver franchement contre moi et à m’insulter en anglais. J’étais au salon, en train de lire sur le canapé, quand elle est sortie du bureau. J’ai levé la tête vers elle et tout de suite remarqué qu’elle était déboutonnée. Elle est venue jusqu’à moi, elle a baissé son pantalon et sa culotte. Elle s’est mise à genoux sur le canapé, s’est penchée en avant et, à ma totale stupéfaction, en français dans ...
    ... le texte et d’un ton peu amène, elle a dit : « Baise-moi… » Je n’en croyais pas mes oreilles. Déstabilisé mais docile, j’ai posé mon livre, je me suis levé, j’ai déboutonné mon jean et me suis placé derrière elle. Je ne savais pas ce qu’elle avait fabriqué dans le bureau depuis le temps qu’elle y était, mais l’état de son sexe et sa culotte souillée avaient répondu à cette question avant même que je ne me la pose. J’avais trouvé incroyable qu’elle puisse se tripoter comme ça alors qu’elle me savait dans la pièce à côté. Vraiment pas le genre de truc que j’aurais osé faire, mais bon… c’était Karen. Elle n’avait pas pu s’empêcher de s’entamer, et visiblement il fallait que je l’aide à terminer le travail. Je me suis mis à lui frotter la vulve un peu salement avec mon sexe. Elle aimait bien que je fasse ça, elle aimait bien lesloppy noise ; c’étaitfilthy, m’avait-elle confié. J’ai commencé à la pénétrer quand, toujours en français, elle a dit : « Non, baise-moi dans le cul… » Je n’en finissais pas de tomber de l’armoire. Sans attendre, elle a recommencé à se masturber et j’ai satisfait à l’injonction. Seulement, la voir se comporter ainsi et l’entendre me dire des choses pareilles m’avait échauffé les esprits. Je me suis emballé et, sans autre préparation, j’ai tout mis d’un seul coup et j’ai commencé à la prendre bien plus rudement que d’habitude, en lui assénant au passage une bonne volée de claques sur les fesses. Elle a tourné la tête et s’est mise à fixer son arrière-train ...
«12...6789»