1. Une famille sexuellement débridée (4)


    Datte: 12/06/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... mienne. — On dit "la pine de papa", précisai-je malicieusement, comme si c’était le plus important en ce moment. En ce qui me concerne donc, je me faisais sucer avec un défaut de régularité compte tenu des secousses que les deux autres mâles de la famille imprimaient à la petite. — Putain, il est bien chaud son cul là et je sens bien ta grosse bite de l’aut’ côté p’apa... Ah j’en peux plus, j’en peux plus rogntudju !... j’vais jouir. J’étais bien content que mon frangin éjacule le premier. Au dernier moment il sortit sa bite en criant : — Penche-toi salope ! Patou arrêta donc de me sucer et s’étendit sur mon père. De longs jets de sperme jaillirent du sexe de mon frère. Les épaules furent touchées alors que les dernières gouttes s’écrasèrent sur les fesses ; Il remit alors sa bite dans le fion jusqu’à ce qu’elle perde de sa vigueur et qu’elle ressorte, très grosse encore mais toute molle. Mon frère, ainsi hors jus, prit la cam en main pour continuer à participer en filmant la scène sous différents angles tel un reporter au pays du stupre. — Allez Tonio, encule-la, vas-y ! Pour son postérieur et pour la postérité. Je me plantai donc le cul encore crémeux et me mis à le déglinguer sans vergogne. Gilles était derrière qui filmait. — Tu les sens Tonio tes pompons qui touchent ceux de papa... Pour le moment j’étais surtout concentré sur le flux de jute qui allait sortir de mes couilles, mais c’était vrai, mes burnes, bien pendantes, frôlaient celles qui m’avaient conçu. ...
    ... J’éjaculai en grognant tout en attrapant les seins de ma sœur que je malaxai comme un enragé. — Nettoie-lui bien le dard ! C’était plus une invitation qu’un ordre. Il était au demeurant superfétatoire. Ma sœur était déjà sur mon zob. Le gland était d’une extrême sensibilité et j’eus du mal à résister au contact de la bouche chaude sur mon sexe. Resté seul en action, papa coucha ma sœur sur le dos pour la prendre en missionnaire. Il s’allongea et se mit à la pilonner activement. De temps à autre, il ralentissait se redressait, s’appuyait sur ses bras et plongeait sa tête entre les seins puis la secouait comme un fou entre les deux globes dont il chopait l’un ou l’autre voracement. Voir ce mec musculeux copuler avec une fille magnifique à gros seins était un spectacle des plus pornographiques. D’ordinaire, après une partie de boules, je passe vite à autre chose, le désir s’effondra comme une avalanche après le coït. Mais là, je ne parvins pas à détourner mon regard. Ma sœur exultait. Elle avait replié ses jambes sur le cul paternel pour que le daron la pénètre mieux et le sentir totalement en elle sans doute, et ses mains s’accrochaient aux muscles saillants dans une étreinte frénétique. Enfin papa rapprocha sa tête de celle de Patricia puis il la palucha fougueusement à lui décaper même les dents du fond. Ma sœur n’y résista pas. Elle cessa d’embrasser pour hurler de plaisir tout en plantant ses ongles dans les omoplates du mâle qui la faisait jouit, y traçant des sillons rouges. Maman ...