1. Une famille sexuellement débridée (4)


    Datte: 12/06/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... mère avec la bénédiction, la complicité et le concours de mon père. — Mais dis qui c’est pute vierge ! reprit papa en utilisant ce juron qu’il avait ramené de son service militaire en Provence. — Non, non, tu ne devineras jamais. — C’est un qui t’a déjà montée ? — Non ! C’était la première fois ! — La première fois ? C’est un mec d’ici alors... La vache ! Il t’a pas loupée. Tu dégoulines. Et t’as le cul bien rouge. On dirait des fesses de singe. Et c’était bon ? — Ah, sublime ! Un goût de reviens-y ! — Et il est bien monté ? — Un truc énorme. — Mieux que moi ? — Oui, je pense, à vue de nez. — Allez, c’est qui ? Balance merde, ça m’excite. — Tututut ! C’est mon petit secret. Je ne peux rien te dire mais je veux te l’amener à l’improviste pour voir ta tronche. Et là-dessus, elle reposa son fessier sur le museau du père, lui clouant par là même le bec puis toujours se frottant contre Patou, elle inséra sa main entre le pubis de papa et la vulve de ma sœur pour bien lui chatouiller le clitoris. Mon frère continuait de filmer et moi, je restais là comme un con, la bite rabougrie, à les regarder forniquer sans rien faire. J’admirais la performance de papa. Comment pouvait-on tenir aussi longtemps avec deux meufs sans éjaculer ? Gilles reposa le caméscope. La carte mémoire était pleine. Il se mit à quatre pattes entre les jambes de papa, pliées au bord du lit, pieds bien à terre qui lui donnaient la puissance nécessaire pour soulever le bassin et faire bondir ma sœur sur son sexe. ...
    ... dmudttvq Gilles écarta les globes fessiers et se lit à bouffer la rondelle sororale. Je ne pus m’empêcher de le trouver beau. Jeune athlétique, les fesses sculptées le sillon rempli d’une épaisse pilosité en soulignant bien la marque, il était très viril. Normal qu’il eût du succès avec les filles. — Bouffe-lui le cul, elle adore ça ! me dit-il. — Oh oui, bouffez-moi la rondelle... — T’aimes ça petite garce ! répliqua maman. — Oh ouiiiii, c’est trop bon, gémit Patou dont on s’occupait des seins, de la chatte et du cul. Je me mis donc à lui bouffer le trou. Mes bras étaient appuyés sur les cuisses du père et, selon mes coups de langue, mon menton lui touchait les couilles. Le tout était à l’humidité, tant à cause de la salive du frangin que de la mouille de ma sœur. Bien que je ne rebandasse pas encore, j’étais terriblement excité. — Bouffe-moi les couilles fiston ! — Quoi ? — T’as entendu ton père, dit maman. - Il veut que tu lui bouffes les couilles. — Ah non, tout mais pas ça ! J’suis pas pédé moi ! — Mais qu’est-ce que c’est que ces conneries ! Une langue c’est une langue, un trou c’est un trou et on peut prendre du plaisir de partout pour peu qu’on ait les idées larges. Tu crois que ta mère me les bouffe pas ! — Allez, mange, reprit Gillou en me donnant une grande claque dans la nuque. Alors j’obéis. Je pris les couilles dans ma bouche. Elles dégoulinaient de cyprine. Peu après, mon père éjaculait en gueulant. Au moment où le sperme, ruisselant se mélangeant à la cyprine ...