Une famille sexuellement débridée (4)
Datte: 12/06/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... arriva pile à ce moment. — Eh, ben, eh ben, c’est du propre ! Je vois qu’on a progressé depuis hier au soir... On s’ennuie pas sans moi ! Elle était sans sa robe de chambre bleue et ses crocs roses aussi peu sexys que possible. Souvent, elle sortait comme ça le matin, sans s’apprêter, quand le temps le permettait pour traverser la route, si peu passante, en diagonale jusqu’au logis de notre voisine où l’attendait toujours un café serré et brûlant. Mon père se redressa sans s’arrêter de fourrer. — Ah non d’une trique, qu’est-ce que t’as raté ! Ils l’ont pinée tous les deux, de vrais étalons... les dignes héritiers de leur père, pas des p’tites bites !... et putain, qu’est-ce qu’elle est chaude ta fille... super bonne comme toi... Là-dessus, maman ouvrit sa robe de chambre. Elle était entièrement nue. Notre voisine n’étant plus là, elle n’avait pas pris la peine de s’habiller pour aller faire sa tournée d’inspection chez la mère pétard. Ses seins étaient lourds, gros mais, sans doute à cause de l’âge, un peu tombants. Mais il y avait de quoi faire péter les braguettes. Les aréoles étaient très foncées sur la peau blanche et les tétons énormes et gonflés. Il me sembla que sa touffe était mouillée. Elle monta sur le lit. Son dos et son cul étaient rouges. — C’est ça, amène-toi que je te bouffe la chatte ! Tiens Patou viens t’asseoir sur ma queue. Mets-toi face à moi. Patricia se mit à califourchon sur le braquemart luisant pendant que ma mère se mettait à genoux au-dessus du ...
... visage pas rasé de son mari. — Vous rasez pas trop les garçons, conseilla-t-elle. Il n’y a rien de tel que des poils durs pour vous picoter la vulve et vous décaper le cul à l’émeri le matin. C’est vachement bon. Machinalement je passai ma main sur mon menton. "J’ai le poil trop souple" pensais-je. Il faudrait me raser tous les deux ou trois jours. Mon père interrompit ces réflexions — Gouinez-vous espèce de salopes ! Caresser vous les nichons l’une contre l’autre pendant que je vous chauffe la raie à toutes les deux. Puis il attrapa ma mère par les hanches pour la forcer à rapprocher la vulve de son visage, mais à peine avait-il commencé son cunnilingus qu’il s’écriait : — Bordel de merde ! Mais t’es pleine de foutre ! T’as la moule remplie de sperme cochonne ! — T’aimes ça hein mon gros cochon ! répondit-elle tout en serrant sa fille par les épaules et bougeant les seins de droite à gauche pour frotter les quatre tétons par paire antagoniste. — C’est qui qui t’a remplie comme ça ? — Ah ah ! — Je le connais ? — Bien sûr. — Putain, lequel de ces fils de pute peut bien être là le dimanche matin ? C’est Jean-Michel ? Jean-Michel, c’est le patron de papa. Il vient de temps en temps au garage désaffecté d’à côté qui sert de dépôt à l’entreprise et que nous surveillons à moindres frais pour le compte de la boîte. — Non, ce n’est pas lui. Le dialogue continua. Papa proposa une demi-douzaine de noms, soit de collègues soit de types du village dont je compris qu’ils avaient tous sauté ma ...