La nouvelle Sabine
Datte: 12/06/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
grosseins,
hotel,
amour,
volupté,
Oral
pénétratio,
... donnai l’impulsion et nous montâmes au premier étage de cet hôtel. La clé déverrouilla la porte qui déboucha sur le début de quelque chose. Tout à l’heure, en quittant cette même pièce, j’avais été folle et j’avais fantasmé de ramener… Valentino. Au présent, il était derrière moi à probablement regarder mes rondeurs, un peu plus forte sans doute. Je me retournai sur lui, il me regardait et comme avant, nous retombions dans les bras l’un de l’autre. Le croirez-vous ? Valentino tremblait dans mes bras !!! Ce belâtre d’à peine trente ans, l’objet des fantasmes de toutes les jeunes femmes était embarrassé, mais ce n’était pas par le froid. La gorge serrée et le regard absent, nous nous retrouvons au centre de cette chambre. Nous esquissons un semblant d’amusement, avant de rire devant nos enfantillages. Il ôta sa veste et mes yeux se focalisèrent sur son corps qui avait profité. Je m’approchai de lui, il posa ses mains sur mes hanches. Mes souvenirs affluaient de tous lieux, de toutes époques. Je redécouvris ce léger strabisme qui animait son regard. Ce trait-là, je le connaissais trop bien et je savais : il était ému derrière ce sourire de façade. L’adolescente sentimentale que j’étais restée cueillit un nouveau baiser. Valentino entrouvrit les lèvres et se blottit contre moi ; nos bouches s’unirent sur l’autel du respect. Pendant un bref instant, je voulus que ce soir, nous en restions là, comme ce premier soir où empreint d’une absurde certitude, nous avions quand même fait ...
... l’amour jusqu’à une heure avancée de la nuit. Ses mains se posèrent délicatement sur ma poitrine et elles ôtèrent mon chemisier. Hypnotisé, Valentino restait impassible, imprévisible… Il me rendait anxieuse : pourquoi ne s’enflammait-il pas comme avant ? Je laissai mon cœur parler, mes mains se faufilèrent sous son polo noir et mes doigts se régalèrent de son torse puissant. Enfin, il ôta son polo… Hmmm !…. Suave et volontaire, je collais mon 95D contre son corps en sentant pousser sur mon ventre, une bosse virile… Valentino regardait ma poitrine qui remplissait un peu trop mon soutien-gorge… Ses yeux essayaient de deviner mes tétons, alors que mon regard se régalait de son ravissement. Il passa délicatement le bout de ses doigts sur mes bonnets de dentelles… Une poussée de fièvre, un étourdissement me submergea avant qu’instinctivement, ma main droite caresse la sienne… C’était unique, ma respiration s’accéléra, je rougis comme une tomate, alors, m’enflammant, mes doigts commencèrent à déboutonner le premier bouton de son pantalon. Il avança sa tête vers mes bonnets et sa bouche remplaça ses doigts. Ses joues frottèrent contre ma poitrine et j’entendis mon amant souffler fort de plaisir à moins… que ce ne soit mes doigts qui… passaient et repassaient sur sa braguette indécemment ouverte. Sous le coton de son caleçon bleu, il était ferme et même plus… Je pressai mes doigts sur ce gros appendice qui semblait plus démesuré qu’autrefois et, Valentino exprima un gémissement contre ...