La nouvelle Sabine
Datte: 12/06/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
grosseins,
hotel,
amour,
volupté,
Oral
pénétratio,
... côtés, sa main droite frôla ma hanche et, je le vis retenir son souffle quand le bout de ses doigts se décida à une caresse. Ses deux mains avaient remplacé les bonnets D de mon soutien-gorge. Valentino se régalait de les cajoler. J’étais pire qu’une pâte à modeler ; j’étais son jouet, toujours l’objet de ses fantasmes… Ivre de désir, je me dressai sur les genoux et je vins cueillir un baiser sur ses lèvres… Valentino posa ses mains viriles sur mes bras et je me tournai, dos à lui. En creusant les reins, je sentis une excroissance buter sur mes fesses, mon sillon… Ses mains saisirent ma poitrine avec passion pendant qu’un souffle chaud se rependait sur ma nuque. Je penchai le tête pour rejoindre sa joue, alors que je sentais son dard frotter contre la fraîcheur de mes fesses. — Ce n’est pas possible, je rêve, j’en ai plein les mains ! Alors qu’il soupesait mes seins, je les vis lui échapper tellement ils étaient lourds. Valentino les pressait, les pétrissait jusqu’à l’absence de synonyme et pendant de longues minutes… Je sentais mon plaisir couler entre mes cuisses, alors que la lance s’impatientait contre mes miches. Il abandonna ma poitrine que je retins un quart de seconde, avant… de laisser glisser ma main vers l’arrière, sur la hanche et les cuisses puissantes de Valentino. Il cambra le torse et respira profondément, avant d’empoigner son sexe. Je retombai sur les deux mains. Un puissant bélier flanqua sa tête dans ma toison où il se mêla à mon nectar… L’assaut final ...
... se fit attendre… Une main désordonnée remonta le long de ma hanche et, s’attarda sur ma poitrine dont il ne se lassait pas. J’avais envie de saisir mes tétons, mais ils étaient douloureux… Je mouillai un doigt pour enfin soulager un autre appendice et attendrir mon petit dard, pendant que Valentino se décida à me saillir. Le plaisir me fit serrer les dents, avant d’exprimer un long gémissement né au plus profond de mon ventre. Ma main glissa sous mon estomac et s’immisça entre ses cuisses. Mon bel Italien s’enfonça en moi jusqu’à la garde et commença à me buriner pendant que je flattais des bourses bien pleines. Mes doigts attisèrent le feu dans mon ventre en mêlant ma mouille au clitoris. Un bon quart d’heure qu’il me faisait ma fête. Ma poitrine ne supportait plus les assauts de Valentino. Je voulais jouir avant lui et mes doigts faisaient tous leurs possibles sur mon bourgeon. Je sentais le sang me monter à la tête, alors que ses mains ne cessaient pas de me dire : « Reste là !!! ». Soudain, le membre se révolta et sur un long grognement, mon athlète éjacula un premier jet en moi… Il agrippa fermement mes hanches pour les salves suivantes, avant de soulager l’étreinte de ses doigts en même temps que sa source de vie se tarissait. Nos regards se croisèrent avec difficulté et Valentino pesa sur moi, avant de s’écrouler sur mon dos en prenant bien garde de laisser son appendice planté dans mon con. A plat ventre sur le lit, mon bel amant me donna un ou deux coups de reins par ...