1. Rupture


    Datte: 12/06/2021, Catégories: hh, jeunes, extraoffre, copains, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels Oral hsodo, Partouze / Groupe ecriv_f,

    ... gêne pas. La place est chaude ! lui dit Alain, en rigolant. Puis, il me demanda de masturber Jérôme pendant que je le suçai. Cette tournante dura longtemps mais, complètement déboussolé, ivre d’alcool et de plaisir, je ne saurais dire combien de temps exactement. A tour de rôle, ils venaient se décharger dans mon fondement pendant que je suçais le deuxième et masturbais le troisième. Enfin, on s’arrêta pour respirer un peu. Mon dos, mes maxillaires et mon cul me faisaient mal, mais le bonheur submergeait tout cela. On parla peu et on but encore beaucoup. Nous étions complètement éméchés. Je ne savais plus qui me pelotait pendant que je parlais. Un ruisseau de sperme coulait de mon anus le long de mes cuisses. Mes habits étaient souillés par les différentes éjaculations des deux autres, qui prenaient leur pied à enlever leur préservatif pour m’éjaculer dessus. J’étais à bout de forces, mais je nageais dans le bonheur. Alain, infatigable, me fit comprendre qu’il désirait me chevaucher à nouveau. Par amour, j’acceptai, malgré mon envie d’aller me coucher. Je me mis à quatre pattes en face du canapé. L’introduction de son sexe se fit sans forcer, mais avec des bruits étranges de ventouse humide. J’étais épuisé, je me sentais défaillir, mais le plaisir était trop fort… D’autant qu’il ne me prenait pas comme un sauvage, mais en y mettant une certaine application et surtout beaucoup de douceur. Heureusement, car mon rectum était très irrité. Tout en me caressant les hanches et en ...
    ... m’embrassant délicatement le dos, il me demanda : — Vas-y, bouge ton joli p’tit cul et viens t’empaler sur ma queue. Je reculai ma croupe au maximum, tout en creusant les reins pour le sentir s’introduire plus profondément en moi. Il commença à s’enfoncer régulièrement, chaque centimètre supplémentaire m’ouvrant le cul un peu plus. Je sentis enfin ses couilles taper contre les miennes et son bassin coller à mes fesses. J’imprimai ensuite la cadence en me retirant lentement puis en m’embrochant à nouveau jusqu’à la garde. Alain continuait à me caresser sans utiliser son sexe. — T’es une vrai salope, hein ?— Oui, je suis une salope, déchire-moi le cul ! Plus le plaisir venait, plus j’accélérais. Je sentis monter en moi une nouvelle jouissance, malgré un degré de fatigue extrême. Mon homme était également au bord de l’éjaculation. Je décidai de l’encourager à venir, pour que nous explosions en même temps : — Ouiiii, c’est bon… Je viens… Ohhhh!!!!! Défonce-moi… Aaaahhhh !!!! Alain m’agrippa brutalement la taille et me laboura sauvagement, me secouant comme un prunier. L’orgasme fut simultané et grandiose dans son intensité. J’en pleurais de bonheur. Nous nous écroulâmes tous les deux, l’un sur l’autre, son sexe toujours fiché en moi. Il m’enlaça alors tendrement, m’embrassa et m’annonça… qu’il m’aimait !!! Nous restâmes immobiles un certain temps avant de trouver la force de nous relever. Ayant trop bu, Jérôme avait disparu aux toilettes, malade. Fabrice s’écroulait sur le canapé, ...
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