Baignade interdite
Datte: 16/06/2021,
Catégories:
fh,
bain,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
humour,
... laquelle elle s’adresse à son compagnon est maintenant nettement moins assurée qu’elle ne l’avait été précédemment : — C’est-à-dire que… euh… puisqu’on est tous les deux dans la même situation embarrassante… bref… au point où on en est… on pourrait sortir ensemble de l’eau… Ça, c’est ce qu’entend Jean-Marc. Ce qu’il n’entend pas, et que nous pouvons révéler à nos lecteurs, c’est ce que Clothilde se dit en son for intérieur : «Non mais, t’es folle… Tu te rends compte de ce que tu viens de lui proposer ? De parader à poil devant lui. Même à ton confesseur, t’oseras jamais avouer ça !… Et pourtant, si tu veux que lui aussi en fasse autant, il n’y a guère d’autre solution. Quand tu t’es fait opérer de l’appendicite, il y a plein d’hommes, les médecins, les infirmiers… qui t’ont vue à poil… Alors, un de plus…» Et comme elle sait que ce ne sont que de mauvaises raisons pour se donner bonne conscience et que, si elle hésite encore quelques secondes de plus, tous les principes inculqués depuis sa plus tendre enfance vont remonter à la surface et la faire se rétracter, elle se met résolument en marche vers le rivage. «… Ça y est, mes seins sont sortis de l’eau. Alors, maintenant, ou bien je m’écroule dans la flotte, et j’ai l’air d’une gourde. Ou bien…» Clothilde se retourne et tend la main vers son compagnon, qui la regarde avec une expression où se mêlent l’incompréhension et une certaine pointe de lubricité face à la magnifique poitrine, bien ferme et bien galbée, qui s’offre à ...
... son regard. — Alors, vous venez ? Après un léger temps d’hésitation, Jean-Marc se met en mouvement à son tour, mais avec peut-être un peu moins d’assurance que sa compagne. Clothilde essaie de ne pas trop porter son regard vers ce qui est le seul objet de sa mise en scène un peu gauche mais, après avoir apprécié mentalement les belles épaules bien découpées et le ventre plat et musclé qu’une faible pilosité permet de mieux détailler, elle ne peut que darder un œil un peu concupiscent vers l’objet anatomique qui vient juste d’émerger des eaux sombres de l’étang. Elle en est à la fois déçue et rassurée. Déçue parce que, si l’appareillage ainsi exposé est nettement plus gros que celui des bébés ou des statues antiques, il est loin d’avoir les dimensions impressionnantes de la photo de sa copine. Mais rassurée aussi, parce que cela confirme sa certitude que cette monstruosité était un trucage photographique, et qu’elle ne peut s’empêcher de penser qu’un tel balancier accroché au bas du ventre de Jean-Marc, non seulement aurait choqué son sens de l’esthétique, mais l’aurait certainement aussi un peu effrayée. Jean-Marc, qui semble moins à son aise que Clothilde se force à le paraître, effleure à peine la main qu’elle lui tend, puis continue son chemin vers la petite clairière à l’herbe moelleuse, sur laquelle il s’écroule… malheureusement allongé sur le ventre ! Certes, Clothilde peut ainsi admirer tout à loisir le dessin harmonieux de son dos et de ses fesses, rondes et musclées, ...