Baignade interdite
Datte: 16/06/2021,
Catégories:
fh,
bain,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
humour,
... mais elle aurait aimé avoir le loisir d’une étude plus prolongée de ce qu’elle n’a que furtivement entrevu. Jean-Marc, à qui cette nouvelle position, plus pudique, semble redonner confiance, se tourne vers Clothilde : — Vous ne venez pas vous sécher un peu avant de vous rhabiller ? Clothilde, à laquelle la déception a ôté toute pudeur, s’assoit par terre, les jambes en tailleur, sans même réaliser que cette position permet à son compagnon d’avoir une vue plongeante sur ses trésors les plus intimes : — De toute façon, je ne vais pas pouvoir rester bien longtemps… Il faut que j’aille travailler à l’église. Après quelques instants d’une conversation un peu décousue, Clothilde prend la décision de clore là les festivités : — Bon, il va vraiment falloir que j’y aille… Vous m’accompagnez un peu ?… Clothilde est déjà debout et se dirige vers l’endroit où elle a déposé ses vêtements, lorsqu’une voix un peu hésitante lui répond : — Non… Je pense que… je vais rester allongé là… Je vais me faire bronzer un peu… Clothilde se retourne et regarde Jean-Marc d’un air intrigué. Quelque chose ne lui semble pas normal, pas clair, dans sa réponse. — Si c’est pour votre marraine que vous avez peur, ne vous en faites pas : moi, c’est pareil pour ma grand-mère. Je pense qu’il vaut mieux que notre petite baignade reste discrète pour le moment. Tout ce que je vous proposais, c’est qu’on marche un peu dans la forêt et qu’on se sépare dès qu’on pourra nous voir. Clothilde est debout, les jambes ...
... légèrement écartées, à moins d’un mètre du visage de Jean-Marc. Et il lui semble qu’il évite de la regarder. Et comment, qu’il évite de la regarder !… Il suffirait qu’il lève les yeux pour embrasser d’un seul regard les jolies petites lèvres duveteuses et la superbe poitrine en contre-plongée… De quoi perturber n’importe quel mâle de 26 ans normalement constitué ! — Non… non… vraiment… Allez-y toute seule… J’ai… j’ai… j’ai envie de me reposer… Clothilde est assez déçue. Elle avait eu jusqu’ici l’impression que le jeune homme appréciait sa compagnie autant qu’elle appréciait la sienne. Alors, pourquoi la rejette-t-il comme ça, tout à coup… et surtout de cette façon étrange, inexplicable. Elle le voit alors glisser une main furtive sous son ventre, puis la ressortir tout aussi rapidement, et une de ces fameuses conversations, chuchotées au fond de la cour de récréation, lui revient soudain en mémoire. Elle hésite, car elle n’est pas habituée, même entre filles, à utiliser un vocabulaire aussi cru, mais elle se lance néanmoins : — C’est parce que vous… bandez… que vous ne voulez pas vous lever ? C’est ça, hein ?… Au moins, cette phrase, dont l’incongruité lui fait monter le rouge aux joues, a le mérite de faire réagir le jeune homme. Il la regarde, à la fois surpris et, semble-t-il, un peu choqué. Clothilde a tout à coup peur de passer pour une dévergondée, et elle s’empresse de le rassurer en bafouillant : — Vous savez, j’ai dit ça comme ça… Parce que moi, en fait… j’ai jamais vu… ...