1. Chapitre 2 - Les bateaux


    Datte: 16/06/2021, Catégories: fh, hh, hbi, inconnu, douche, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, hsodo, humour, inithh,

    ... vois de quoi il est capable mon paquebot ? Et les mouvements de la mer ? Je me sens fort et dominateur. Je reste encore un moment sans bouger ma queue plantée dans ses fesses. Je me retire finalement et lui donne quelques tapes amicales sur les fesses. Je me relève et je commence à me laver. Je suis heureux de lui avoir montré de quoi je suis capable. C’est moi maintenant le dominant. Jean se lève et vient pour m’embrasser. Je le repousse sans violence et lui empoigne son sexe ramollit pour lui montrer que maintenant c’est moi qui dirige. Je commence à le branler d’abord lentement puis avec énergie. Il ne tarde pas à éjaculer dans ma main. Toujours pour lui faire comprendre ma supériorité, je lui fais lécher ma main. Je suis satisfait d’avoir réussi mon coup, je peux faire de lui ce que je veux maintenant. Mais je décide d’en rester là. Je l’embrasse goulûment et nous finissons notre douche. Enfin je m’habille sans oublier de mettre mon pull autour de ma taille pour cacher mon sexe en érection. J’embrasse une dernière fois Jean. Une petite tape sur ses fesses nues et hop, je m’éclipse. Avant de disparaître il me demande : — Au fait, c’est quoi ton nom ? Avec ironie je lance : — Tu peux m’appeler… Barre d’Acier. Fier de moi, je sors de l’appartement. Je réfléchis pendant que je descends en ascenseur. Je suis sûr que maintenant plus personne ne peut me résister. Je suis Barre d’Acier et personne ne m’arrive à la cheville. Je me sens fort et grand. Je peux me faire qui je veux ...
    ... sans problème. D’ailleurs je vais le prouver par un défi simple : je me fais la première femme que je vois. Arrivé au rez-de-chaussée, la porte de l’ascenseur s’ouvre. — Bonjour jeune homme. Oups voilà que la porte s’est ouverte sur une vielle grand-mère de bien soixante-dix ans. Bon je décide de remettre mon défi à plus tard et je fonce en espérant qu’elle m’oublie. — Jeune homme ! apostrophe-t-elle Faire semblant de ne pas entendre et surtout ne pas me retourner. — Jeune homme ! me lance-t-elle de nouveau Je l’ignore, j’ouvre la porte d’entrée de l’immeuble et au moment où je m’apprête à sortir elle ajoute : — Jeune homme ! Votre pull ! Vous avez fait tomber votre pull. Oups de nouveau. Maladroitement, je marche à reculons pour saisir le pull qu’elle me tend sans qu’elle puisse voir mon érection. Je la remercie en m’éloignant rapidement sans trop la regarder. Et j’entends de loin : — Jeune homme ! Si vous repassez par ici, venez me voir. Appartement 123 au premier étage. L’espoir fait vivre, me dis-je. Je marche dans la rue d’un pas rapide en direction de mon immeuble. Plus loin devant moi une mère et son enfant me font face. Le petit dit à sa mère en me montrant du doigt : — Maman t’as vu le monsieur c’est un cow-boy.— Mais non mon ange, ne dis pas n’importe quoi. Tu vois bien qu’il n’a pas de chapeau.— Oui, mais il marche les jambes écartées comme si il descendait de cheval. Regarde, il fait comme ça… Et voilà que le petit monstre imite ma démarche. Je les croise sans les ...
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