1. L'université : de la soumission à la consécration (9)


    Datte: 17/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... C’est droit dans les yeux qu’elle scelle son abandon : lfhloocj — Je t’en supplie petit frère, je veux que tu me baises. Je la plaque de nouveau contre le mur, prends un de ses seins dans ma main. Je glisse l’autre dans son cou, approche mon visage du sien. Mes lèvres sont presque contre les siennes. — Tu veux vraiment que je te baise ? — Oui, soupire-t-elle, je le veux. Elle tient toujours mon sexe dans sa main, elle l’utilise pour le faire coulisser le long de sa fente. Elle se caresse même le clitoris avec le bout de mon gland. L’instant que je vis est merveilleux. Mes lèvres comblent alors les derniers centimètres qui les séparent des siennes et je l’embrasse. D’abord assez tendre, notre baiser se transforme rapidement en un bon roulage de galoche. Anna n’est pas Charlotte. Pourtant, nos langues qui s’entremêlent me procurent une sensation presque aussi forte, bien que très différente. Plus sauvage, bestiale même. Je n’ai jamais été très proche d’Anna, mais elle reste ma sœur, et elle est surtout très bonne. L’intensité des sentiments qui me transportent n’est donc pas très éloignée de celle que j’ai ressentie pour ma petite sœur. Il n’y a pas d’amour, certes, mais beaucoup plus… de pulsions, d’instinct même. C’est étrange, je ne pensais pas prendre autant de plaisir à embrasser ma sœur. J’ai peut-être plus de sentiments pour elle que je ne le pensais, finalement. Quoi qu’il en soit, je délaisse bientôt ses lèvres pour reprendre en bouche ses tétons. Ils me manquaient ...
    ... trop ! Pendant ce temps, Anna fait toujours coulisser mon gland le long de sa fente. C’est divin. Nous sommes si excités l’un et l’autre que je sens des filets de nos mouilles mêlées lui glisser le long de la cuisse. Soudain, Anna passe une main tremblante de désir dans mes cheveux, qu’elle me caresse tendrement. J’aime cette légère pression sur mon crâne tandis que je la tète, j’ai l’impression d’une étreinte presque maternelle. — Oh Justin… soupire-t-elle, transportée par le plaisir. Je ne réponds que par une pression accrue sur sa poitrine, mais cela semble lui convenir. Bientôt, elle cesse pourtant de faire coulisser mon sexe contre le sien, pour en présenter le gland à l’entrée de son vagin. — S’il te plaît, supplie-t-elle. Je veux que tu me baises, j’en peux plus ! Je l’observe dans les yeux, mes lèvres contre les siennes. — Tu le veux vraiment ? Je repousse sa main pour attraper moi-même mon sexe, que je positionne tout contre elle. — Oh oui… lâche-t-elle. Mes lèvres se posent de nouveau contre les siennes, puis elles s’entrouvrent pour laisser nos langues s’entremêler en un baiser passionné. J’aime beaucoup son haleine, et l’ardeur avec laquelle elle m’embrasse me rend dingue. Je commence à faire entrer très lentement mon sexe en elle. La sensation est délicieuse, notre désir mutuel atteint des sommets. Lorsque mon gland est à l’intérieur, je m’arrête un instant et l’observe à nouveau. — Tu es sûre que tu veux qu’on le fasse ? On est frère et sœur quand même ! — Oui je ...