L'université : de la soumission à la consécration (9)
Datte: 17/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... le veux, oui ! S’il te plaît Justin, fais-moi l’amour ! "Fais-moi l’amour" Le terme est étrangement choisi, je trouve. Je reconnais là ce que j’ai pensé moi-même avec Charlotte. Mais je n’irais pas jusqu’à dire qu’il s’applique ici, malgré mes incontestables sentiments pour ma sœur aînée. En tout cas de mon point de vue… Anna devient folle de désir, elle ondule du bassin pour essayer de faire entrer mon sexe en elle. Mais je contrôle la pénétration, et je l’empêche encore de parvenir à ses fins. Je veux aller plus loin encore, qu’elle en perde la tête. — Justin, s’il te plaît… Je t’aime petit frère… Cet aveu me coupe le souffle. Alors ça c’est inattendu ! Que veut-elle dire exactement par là ? Est-ce vraiment une déclaration profonde, ou est-ce simplement un immense désir qui parler pour elle ? Peu importe, ça ne sert que mieux mes intérêts… Je l’embrasse à nouveau, mais cette fois sans la langue. Nos lèvres seules s’entrechoquent, s’entremêlent même en se mordillant mutuellement. La passion n’en est que décuplée. Je retrouve quelque chose d’assez proche de ce que j’ai vécu avec Charlotte. Et de beaucoup plus fort que tout ce que j’ai jamais vécu avec Camille… Je l’embrasse partout : sur les lèvres, les joues, dans le cou, la pointe des seins… Ma grande sœur devient folle. — Justin je t’en prie, fais-moi l’amour ! L’abandon a cette fois quelque chose de différent. Le désir est toujours aussi fort, mais beaucoup plus profond. Une larme coule le long de sa joue, l’amour ...
... illumine son visage. Oui, ma sœur m’aime vraiment. Alors je me retire, puis je m’éloigne d’elle. — On verra peut-être plus tard. Je l’ai lâché sans mépris, mais avec dédain, ce qui est pire. La garce pense-t-elle vraiment que j’ai tout oublié ? Et même tout pardonné ? Un coup d’œil dans sa direction m’apprend que les larmes se sont multipliées sur son visage, mais cette fois de tristesse. "Chacun son tour, pétasse !" Elle quitte alors la chambre de Léna en pleurant à chaudes larmes. Peu importe, j’aurais juste à la baiser plus tard. Elle fera partie de mon harem, qu’elle se rassure. Mais pour le moment, j’ai promis à ma marraine de la baiser, elle qui m’a toujours soutenu autant qu’elle le pouvait. Et je compte bien l’honorer, elle en même temps que ma promesse. Pourtant, je sais que ce qui vient de se passer avec ma sœur m’a formidablement excité, et étrangement j’ai désormais plus envie de me vider rapidement que de faire durer l’exercice des heures. Il faut que je me décharge de toute cette excitation ou je vais exploser ! Je plaque donc Léna contre le mur, puis je viens l’embrasser avec passion. Je lui presse les nichons avec ardeur, puis je présente déjà ma bite contre elle. — Je suis désolé, il faut que je me vide ! — Ne vous excusez pas Maître, utilisez-moi comme il vous plaira. Je serais déjà très honorée de recevoir votre semence. Il ne m’en faut pas plus : je m’introduis en elle d’un coup sec. Elle est déjà bien préparée suite à notre coït interrompu, et moi je n’en parle ...