Les vacances de Julie (7)
Datte: 09/11/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Ce sont des bruits sourds qui m’ont réveillé le lendemain. Une discussion au loin, puis le plancher qui craque, des pas lourds dans l’escalier. Je n’avais aucune notion de l’endroit où je me trouvais. Une faible lumière bleutée passait à travers les volets en bois. J’ai pris ma montre sur la table de chevet pour me rendre compte qu’il n’était pas encore cinq heures trente du matin. La soirée de la veille avec Bernard et Virginie m’est lentement revenue en mémoire, provocant chez moi à la fois un sourire et un début d’érection. A côté de moi, Julie dormait encore paisiblement. J’étais en train de me rendormir lorsque la porte de notre chambre s’est ouverte en grinçant. Malgré la pénombre, j’ai reconnu Virginie. Je l’ai regardée marcher vers moi, sur la pointe des pieds pour ne pas faire trop craquer les lattes du plancher. Elle ne portait qu’un tee-shirt et une culotte, et je ne pouvais détourner mon regard de ses jambes à quelques centimètres de mon visage à présent. Elle s’est agenouillée à mes côtés, et lorsqu’elle a croisé mes yeux ouverts, elle a chuchoté : — Zut, je suis désolée, je t’ai réveillé ? — Non non, ai-je répondu à voix basse. Des bruits avant ça m’ont réveillé. — Sûrement Bernard qui partait pour la traite de ses vaches. Un silence s’est installé, un instant, mais nous ne cessions de nous regarder. — Qu’est-ce que tu fais là ? ai-je finalement demandé. — J’ai quelque chose à te demander... On a eu une petite conversation avec Bernard tout à l’heure, on s’est ...
... un peu disputés... — Je vous ai entendus, oui. Vous vous êtes disputés à quel sujet ? — Et bien, c’est par rapport à hier. — A cause de Julie ? — Non, non, pas du tout ! On a l’habitude, ça ! Son sourire était équivoque, et je me suis promis intérieurement de lui demander de me raconter leurs histoires un peu plus tard. — Non c’est juste que je suis la seule à ne pas avoir joui, a-t-elle continué. Je l’ai regardée, sans rien dire, attendant la suite. Mais rien ne venait. — Et ? ai-je finalement demandé. — Et j’en ai encore envie, sauf que Bernard n’a pas voulu s’occuper de moi ce matin. Il m’a dit que j’avais qu’à aller voir dans la chambre à côté. Du coup... — Du coup tu es venue pour que je te fasse jouir. Virginie ne m’a pas clairement répondu, mais je savais que c’était ça. Ce n’était pas bien difficile à comprendre. Et sa lèvre inférieure qu’elle mordillait, les yeux baissés, était la preuve que j’avais raison. — Ok, ai-je dit. Mais à une condition. — Tout ce que tu voudras. — Je veux que tu la fasses jouir en premier. J’avais désigné Julie, qui dormait encore à côté de moi. Virginie a souri, visiblement elle était d’accord. Alors sans en dire plus, elle a grimpé sur le lit, qui s’est mis à grincer, et tout doucement, a tiré sur la couette, dévoilant le corps entièrement nu, bien sûr, de ma jolie brune. Un instant, Julie a bougé, nous forçant, Virginie et moi, à nous figer. Mais ce n’était que pour écarter un peu plus les jambes, et inconsciemment laisser un passage plus ...