Les vacances de Julie (7)
Datte: 09/11/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... me coller à elles. Mes mains ont trituré leurs seins, leurs fesses, leurs chattes trempées, l’une comme l’autre. Puis Virginie s’est allongée sur Julie. J’ai admiré ces deux culs un instant, c’était un spectacle magnifique. J’avais bien sûr envie de les baiser toutes les deux, mais pour le moment j’avais une mission : Virginie. D’une main, j’ai alors écarté ses fesses, admirant au passage la douceur de son anatomie. De l’autre, j’ai guidé mon sexe vers le sien. Mon gland est rentré en contact avec ses lèvres, trempées, et j’ai poussé d’un coup. Virginie a poussé un cri, un cri de satisfaction, lorsqu’elle m’a senti investir son intérieur. Rapidement, le rythme est devenu soutenu, et je l’ai baisée avec force, mes deux mains sur ses hanches. Ses cris aussi sont devenus plus soutenus. Elle était tellement excitée qu’elle aurait pu jouir en moins de trois minutes, mais sadiquement, je m’amusais à sortir de son sexe dès qu’elle était sur le point d’atteindre l’orgasme, et alors je pénétrais celui de Julie. Lentement, juste le temps de faire redescendre un peu le plaisir de Virginie. Puis j’y retournais. Le petit manège a ainsi duré presqu’un quart d’heure. Virginie avait frôlé l’orgasme quatre ou cinq fois déjà, et je m’amusais à ne jamais la laisser jouir. Elle en pleurait presque. Il a fallu qu’elle me supplie. — S’il te plaît, m’a-t-elle dit avec la voix tremblante, s’il te plaît laisse moi jouir... — Mets toi à quatre pattes, ai-je répondu. Virginie s’est mise sur ses genoux, ...
... a relevé ses fesses. J’ai attrapé les chevilles de Julie, sous elle, et l’ai tirée vers moi. Son visage était juste en-dessous de la chatte baveuse de sa nouvelle copine. J’ai claqué ses seins, à plusieurs reprises, et lui ai dit : — Tu as compris, petite chienne ? Fais la jouir ! Après un rapide « Oui Maître », Julie n’a eu qu’à relever un peu sa tête et sortir sa langue pour atteindre la fente ultra-sensible de Virginie. Bien sûr, je me suis joint aux filles, et je l’ai à nouveau pénétrée également. Avec une queue au fond d’elle et une bouche contre son clitoris, elle n’a pas pu tenir bien longtemps. A peine deux minutes plus tard, elle jouissait bruyamment, contractant tous ses muscles autour de mon sexe, expulsant sur le visage de ma belle un impressionnant flot de mouille. Elle a crié tellement fort que même depuis sa ferme, où il était sûrement en train de traire ses vaches, Bernard devait entendre sa nièce. Je ne me suis pas arrêté pour autant. Car moi, pour le coup, je n’avais pas encore joui, et ces deux jolies catins m’avaient excité plus que de raison. Alors j’ai continué à la baiser, brutalement, et elle continuait de crier. Sa chatte continuait de couler sur le visage de Julie, qui, sans ordre contraire de ma part, continuait de sucer son clitoris. Je crois qu’un deuxième orgasme l’a terrassée, mais je ne peux pas en être sûr car j’étais trop concentré sur le mien. J’ai joui en elle avec la même force que celle dont j’ai usé pour la baiser, recouvrant les parois ...