Les vacances de Julie (7)
Datte: 09/11/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... aisé à Virginie. Celle-ci s’est alors glissée entre les jambes de ma belle, et a commencé à l’embrasser au fur et à mesure qu’elle remontait vers sa fourche. Bien sûr, Julie s’est réveillée à ce moment, le sourire aux lèvres. Puis elle a paniqué en me voyant à côté d’elle, comprenant que quelqu’un d’autre était entre ses cuisses. — Laisse toi faire, lui ai-je dit, Virginie est là pour ton bien. Alors Julie s’est détendue, et s’est mise à doucement haleter tandis que sa compagne commençait à lui brouter le minou. De mon côté, la vision de ces deux jolies filles ensemble commençait à me faire de l’effet, et je cachais sous la couette une belle érection que je n’ai pas tardé à prendre en main. Comme un adolescent, j’ai commencé à me masturber devant ce show lesbien. Virginie avait l’air de savoir y faire. Elle n’en était sûrement pas à son premier coup d’essai. La tête enfoncée entre les cuisses de Julie, les mains sur son ventre et ses seins, elle usait de sa langue pour transformer les gémissements de ma belle en cris de plaisir. Bandant de plus en plus, j’ai décidé de me mêler à la fête. Ma queue est passée de ma main à la bouche de Julie, qui m’a bien évidemment avalé avec plaisir et savoir-faire. Mais elle ne me suçait pas vraiment. Elle se contentait de me laisser baiser sa bouche, trop concentrée sur le plaisir que Virginie lui offrait du bout de sa langue. J’ai retiré mon sexe de sa gorge lorsque je l’ai entendu bredouiller quelque chose. — S’il te plaît... Est-ce ...
... que... Est-ce que je peux jouir ? a-t-elle demandé le souffle court. — Vas-y. — Merci Monsieur, merc... Elle n’a pas pu finir sa phrase, terrassée par l’orgasme. Elle criait de plaisir tandis que je m’amusais à frotter mes couilles sur son visage. Derrière moi, Virginie n’avait pas lâché sa prise, et je l’imaginais suçant le clito de ma belle comme si sa vie en dépendait. Quand finalement elle s’est retirée, elle est venue s’allonger à côté de Julie, le visage barbouillé de mouille, souriante. — Va l’embrasser pour la remercier, ai-je dit à Julie. C’est la moindre des choses. Reprenant ses esprits, Julie s’est tournée et est allée coller sa bouche contre les lèvres trempées de sa partenaire. Leur baiser a duré une bonne minute, durant laquelle j’ai un peu tripoté Julie, glissant deux doigts dans son sexe sensible, puis j’ai glissé mes doigts sur les cuisses de Virginie, et les ai remonté jusqu’à attraper sa culotte. D’un geste brusque, j’ai retiré celle-ci, la laissant pendre à l’une de ses chevilles, et ma main s’est plaquée contre sa fente imberbe. Virginie était trempée. Je me suis amusé un instant à claquer cette jolie chatte qui m’était offerte, j’ai titillé son clitoris du bout du doigt, mais pas trop, je ne voulais pas qu’elle jouisse trop vite. J’ai demandé à Julie de retirer le tee-shirt de Virginie, et les deux filles se sont retrouvées nues. Elles continuaient de s’embrasser, lascivement, sensuellement, leurs deux corps collés l’un à l’autre. Nu moi aussi, je suis venu ...