Pour que le jeu puisse durer
Datte: 17/06/2021,
Catégories:
ff,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
intermast,
Oral
aliments,
... sur la face interne de son avant-bras qui traînait nonchalamment par-dessus les couvertures. Elle plia ses doigts, fermant le poing pendant cette petite caresse. Je glissai l’index de ma main libre entre ses doigts courbés et elle serra son poing plus fort. Je me laissai aller à cette phrase banale, qu’elle entendait tous les jours mais qui faisait toujours son effet « Pauline tu es belle ». Elle frémit subrepticement. J’embrassai le côté de son nez. Ce nez que j’aimais tant. Si droit, si fin, si délicat. Je le happai dans ma bouche, tout entier et entrepris de glisser le bout de ma langue dans ses narines. Elle frétilla un peu plus et étira ses bras avec un petit gémissement ensommeillé. J’avais bien l’intention de la réveiller encore un petit peu plus. La faire se réveiller totalement, la réchauffer, la rendre folle, brûlante, nerveuse et pourquoi pas incontrôlée, était mon désir le plus fou à cet instant. Elle avait sommeil, mais après cette incursion au pays de l’excitation, si elle en avait encore envie, je la laisserais se rendormir dans son lit en la berçant doucement. Mes lèvres lâchèrent son nez avec un petit bruissement et se collèrent aux siennes. Elle avait le goût du matin, l’haleine fiévreuse et un peu empâtée. Sa langue était tiède et collante, je posai la mienne bien à plat sur la sienne, faisant ensuite des petits va-et-vient d’avant en arrière et de droite à gauche. Elle restait passive, se laissant utiliser comme je le voulais. Elle tenait mon index mais ...
... ouvrit son poing pour prendre ma main entière. Quelle joie de sentir ses doigts se refermer autour des miens ! Découvrant la couette, je soulevai sa nuisette de ma main libre. Elle frissonna mais s’abstint de dire le moindre mot. Je remontai le coton jusqu’à sa poitrine, découvrant totalement son corps. Son ventre calme, lisse, doré. Son nombril, parfaitement rond et légèrement incurvé. Puis le haut de ses cuisses, fermes et musclées. Et surtout sa pilosité noire, drue et bouclée qui recouvrait les lèvres de son sexe. Mes doigts caressèrent cet endroit. Il n’était plus humide. Pas encore assez excité pour luire insolemment. Sec et rassasié depuis la dernière fois. Hier soir, avant de dormir ; pas machinalement mais avec une complicité coquine et bien rôdée. Mes doigts s’aventurèrent plus profondément dans son intimité. Sa peau devenait humide, tendre. Je caressai doucement son clitoris endormi et il ne tarda pas à s’énerver un peu. Elle changea de position et ouvrit les yeux. Elle murmura « Floriane, salut ma chérie » Je portai un bisou sur ses lèvres sans cesser de jouer avec elle. « Coucou Pauline » Elle remonta un peu vers la tête de lit, passant de la positon allongée à celle de demi-assise. Ma main adopta le mouvement et ne cessa pas de tourmenter son sexe. Elle dit « J’ai soif » Je désignai le verre de jus d’oranges qu’elle saisit. Elle le porta à ses lèvres et avala quelques gorgées. Ses lèvres sèches à présent humidifiées portaient l’exquise empreinte de la coulée de ...