1. Pour que le jeu puisse durer


    Datte: 17/06/2021, Catégories: ff, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, intermast, Oral aliments,

    ... liquide. Elle me tendit le verre et me proposa de boire. Je fis couler un peu de liquide sucré dans ma bouche. Elle s’approcha de moi et avala encore un peu. Nos lèvres se trouvèrent chacune d’un côté du verre. Elle plongea ses yeux marron dans les miens. Elle abaissa le verre et nos lèvres se touchèrent. Elle fit couler un peu de jus d’oranges entre mes dents, poussant le liquide du bout de la langue. Il était tiédi par le court séjour dans sa bouche. Je repoussai la boisson avec ma propre langue vers la bouche de la bien-aimée, elle poussa un petit cri , prise par surprise et tout dégoulina sur son menton. Je fis en sorte de la lécher avec un petit air de triomphe non dissimulé. Elle s’amusa encore et me dit « Tu veux manger pour moi ? » Elle approcha un croissant préparé par mes soins, à l’abricot. J’en coupai une fine bouchée et mâchai la viennoiserie délicieuse. Elle colla ses lèvres aux miennes et nous échangeâmes mon croissant pendant quelques allers et retours entre nos bouches. La bouchée était encore plus délicieuse de passage en passage. À chaque instant sa consistance changeait, humidifiée par la salive de Pauline. Elle mordilla un autre bout de croissant, le gardant intact entre ses lèvres où j’allai le dénicher d’une pichenette de langue. Toute la pâtisserie passa dans ce jeu excitant. Elle ne trouva rien d’autre, à présent totalement réveillée, que la salissante idée de plonger ses doigts dans le pot de miel. Elle barbouilla sa propre figure avec ses mains, ...
    ... ses sourcils agglutinés par le miel, son nez doré se laissèrent nettoyer par mes baisers. Elle barbouilla mes lèvres pour mieux venir me les lécher. Finalement, sous la pression de mes mains, elle se rallongea totalement. Je lui fis face, un genou de chaque côté de ses cuisses. Je lui offris une ligne de baisers, de son front à ses orteils, passant par sa petite vallée, ses cuisses, ses jambes et la plante de ses pieds. Prise d’une folle excitation, je plongeai mon nez entre ses grandes lèvres pour respirer l’odeur de son sexe, elle frétilla un peu et, comme pour l’énerver encore plus, je glissai ma langue en entier à l’intérieur de son sexe. Elle avait, mon Dieu, ce goût intime, indescriptible, un goût de femme ; un goût intime, totalement personnel que j’étais la seule à pouvoir connaître à cet instant. Cette possession par l’intimité manqua me faire perdre la tête. C’était ses profondeurs, quelque chose qu’elle m’offrait à moi seule et à personne d’autre. C’était offrir une part de son corps à un autre être humain. J’abattis le dessous de ma langue avec force contre son clitoris, à présent dur et turgescent. Je glissai mes deux mains libres, pleines de miel, de chaque côté de mon visage, lui-même enfoui entre les cuisses de Ma Pauline. Du bout des doigts j’écartai les bords de son intimité, découvrant ses petites lèvres luisantes et la profondeur de son vagin. Je maintins l’écartement tout en caressant nerveusement et de façon aléatoire les berges de son sexe. Elle émit un ...