1. Yasmina, princesse de l'Orient


    Datte: 18/06/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, danser, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init, historique,

    ... bouche. Yoala, qui avait deviné mes intentions, retint son souffle. Je m’enivrai un long moment de sa puissante odeur de fille, mêlée au parfum de la liqueur qu’avait distillé jusqu’à maintenant son désir. Elle posa ses cuisses de part et d’autre de mon cou et, la tête en bas, alors qu’elle faisait à nouveau coulisser mon pénis dans sa bouche, empoigna mes jambes. Je frôlai son sexe de mes lèvres et plongeai ma langue dans ses replis intimes pour y fouiller au plus profond, avec gourmandise, à la recherche de son petit bouton de plaisir. Elle libéra mon sexe pour pouvoir respirer et se mit à gémir de plus en plus bruyamment. Après un premier orgasme qui trempa sa toison pubienne, je fis faire à ma langue d’amples mouvements, de la raie des fesses jusqu’au clitoris, en en dardant brutalement la pointe. Un second orgasme secoua ma petite esclave africaine, lui arrachant un cri rauque. Avant de la reposer au milieu des coussins, je pris le temps de me délecter de son nectar de fille au goût fort, mais néanmoins subtil. Je m’agenouillai entre ses cuisses ostensiblement ouvertes pour moi, et contemplai ce petit corps qu’elle allait m’offrir. Je me couchai sur elle et, après un moment d’hésitation, je poussai lentement ma verge tout au fond de son ventre encore brûlant de désir. Nous n’entendîmes plus, dans la grande pièce silencieuse, que le chuintement de notre sensuel et voluptueux corps à corps, mêlé au clapotis de son puits d’amour gorgé du suc de ses jouissances. — Maître ! ...
    ... Maître, tu me rends folle ! Je vais… Sa phrase se perdit dans le grognement que lui arracha l’orgasme qui la cueillit sans qu’elle s’y attende. Alors que mes coups de reins redoublaient d’ardeur, elle entreprit de masser mon pénis de ses muscles intimes. Le résultat ne se fit pas attendre. Mes derniers assauts furent brutaux et, fou de plaisir, soufflant comme une bête sauvage, je lâchai ma semence au fond de ma jeune esclave africaine, en de longs et puissants spasmes. Nous roulâmes tous les deux sur le côté, vidés, fourbus. Plus tard, au milieu de la nuit, je m’éveillai et, dans un demi-sommeil, contemplai Yoala couchée sur le ventre, un bras glissé sous le coussin où reposait sa tête. La nuit était tiède et la lune, pleine, jetait dans la pièce une pâle et blafarde lumière qui mettait en valeur les rondeurs et les courbes féminines de ma jeune esclave. Ainsi, mon regard s’attarda sur la cambrure de ses reins et les deux jolis globes de ses fesses. Obéissant sans aucune résistance au désir qui montait à nouveau en moi, je me collai à elle et me mis à la caresser. Elle bougea, étouffa un bâillement et se tourna vers moi. — Quelque chose ne va pas, Maître ? s’enquit-elle, la voix enrouée de fatigue.— J’ai encore envie de toi, petite sorcière ! ~ ACTE 3 ~ C’est contraint et forcé que j’assistai à la fin de la pénitence de la princesse Yasmina. Elle fut sortie de son cachot et conduite, entre quatre gardiens, sur la place centrale qu’entouraient les palais de la noblesse locale. ...
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