1. Yasmina, princesse de l'Orient


    Datte: 18/06/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, danser, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init, historique,

    ... En effet, Abduhl al Rachid n’avait pas jugé bon de faire publiquement donner le fouet à sa propre fille au milieu du village. Le linge sale se lavait en famille ! Donc mon fidèle écuyer et moi vîmes arriver le petit groupe, et ma douce Yasmina fut attachée à un poteau, bras levés, dos courbé. Un lourd silence se fit. Le Grand Vizir s’approcha de la jeune fille et, d’un geste brusque, déchira son vêtement. Un murmure parcourut la petite foule que constituait la soixantaine de personnes rassemblées. La peau du dos de la suppliciée, moite de peur, brilla au soleil. L’officiant attacha la longue chevelure avec une vulgaire corde et la fit passer de côté, afin que le dos soit vraiment nu. C’est lui qui donna le premier coup de fouet. La fine lanière de cuir siffla dans l’air, claqua sur la peau tendre et tendue, arrachant un cri aigu à la jeune princesse. Le fouet passa dans les mains du Sultan, claqua à nouveau, fut ensuite saisi par Zakia, la grande sœur, qui le passa à son mari, puis ce fut le tour de Samira, la seconde sœur… Bref, toute la famille prit part à la séance du fouet. Chaque coup était suivi d’un cri et d’une contorsion du magnifique corps de la belle princesse. Soudain, le Sultan se tourna vers moi, pointant un doigt vibrant. — Il reste trois coups à donner ! Viens, Seigneur Marcus, ce sera ta punition… Car, toi aussi, tu es coupable dans cette affaire ! déclara-t-il d’un ton sans appel. Le regard de ma douce Yasmina croisa le mien et je crus y entrevoir une ...
    ... sorte de lueur d’encouragement, comme si elle me disait : "Finissons-en au plus vite !" La douleur se lisait sur ses traits. Malgré le peu d’enthousiasme que je donnai à mes coups, la princesse perdit connaissance. Après le dernier claquement, le Sultan congédia tout le monde et ma jeune esclave noire, aidée de mon écuyer, détacha Yasmina pour la mener, titubante, dans notre logis. Je les suivais à quelques pas. Yoala ferma le rideau devant mon nez. Je ne protestai pas, car il m’était interdit d’assister aux ablutions des femmes. Compréhensive, Aïcha, une servante, pensant que je ne parlais pas l’arabe, me fit comprendre par gestes de la suivre. Par des couloirs inconnus de moi, elle me mena jusqu’à la grande pièce consacrée aux bains. Entre deux colonnes, je pus contempler Yasmina et Yoala, toutes les deux nues. La première était allongée sur une table de marbre recouverte d’une épaisse fourrure. La seconde, couverte encore de gouttelettes, lui étalait quelque onguent pour apaiser le feu du fouet. Tout en parlant, les petites mains de ma jeune esclave noire voyageaient en gestes sensuels sur le dos de Yasmina, dont les paupières étaient closes et sur les lèvres de laquelle flottait un sourire lascif. Bien que la lanière du fouet ne les eût pas atteints, Yoala lui massa aussi les reins, les cuisses et ses jolies fesses rondes. Mon sexe devint très vite dur et douloureux. À côté de moi, Aïcha, les yeux grands ouverts, ne perdait rien de ce spectacle érotique. Constatant avec ...
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