Yasmina, princesse de l'Orient
Datte: 18/06/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
danser,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
init,
historique,
... souvins soudain que, sans m’en apercevoir, nous avions parlé en arabe. — Vas-tu le répéter aux tiens ?— Non, c’est aussi bien comme ça. Nous terminâmes notre collation par des fruits secs. Le lendemain matin, alors que les premières lueurs du jour éclairaient l’horizon, j’ouvris les yeux et constatai que ma belle princesse dormait toujours, nue, entourée d’une armada de coussins soyeux. ~ ACTE 2 ~ Penché sur mon écritoire, je maniais avec précaution une grande plume d’oie. Je mettais la dernière touche à un manuscrit dans lequel j’évoquais les mœurs et les coutumes des habitants qui m’entouraient. Alors que je trempais la pointe de ma plume dans un petit vase plein d’eau pour la nettoyer, j’entendis des pas précipités. Aïcha, l’une des esclaves qui avaient été allouées à Gildas, mon écuyer, entra en trombe et tomba à genoux devant moi, essoufflée et manifestement en proie à une vive émotion. — Messire, venez, je vous en prie, ils vont jeter la princesse Yasmina en prison ! sanglota-t-elle. Je me levai prestement et me laissai guider à travers les larges et interminables couloirs. Gildas nous attendait à l’entrée d’une grande et très haute salle qui servait de tribunal. Le Sultan trônait sur un fauteuil de bois précieux tendu de tissu. À sa gauche se tenait le Grand Vizir et, de l’autre côté, toute la famille du monarque. La princesse était face à eux, prosternée, les mains enchaînées, gardée par deux colosses. Je fis donc une entrée remarquée. Je fis signe à Gildas de ...
... traduire : — Noble Sultan, que se passe-t-il ?— Et bien, Messire Marcus de Jarnisie, Yasmina, ma fille bien-aimée, a fauté… avec toi ! Je dois la faire lapider ! s’écria Abdul al Rachid, le reproche dans la voix.— Vénérable Sultan, j’implore ta clémence. C’est de ma faute ! Je n’aurais pas dû céder. J’implore ton pardon. De plus, officiellement, je viens ici te la demander pour en faire mon épouse. Gildas hésita un instant avant de traduire mes propos. Le visage du calife montra une extrême surprise, puis celle-ci fit place à la perplexité. Je lui avais sauvé la vie et il ne pouvait me refuser sa fille, sous peine de passer pour un ingrat. Un lourd silence tomba dans la pièce. Il y eut des conciliabules animés entre le calife, sa famille et le Grand Vizir, puis Abdul al Rachid se tourna vers moi. — Noble étranger, je te donne ma fille comme épouse… Bien entendu, tu ne la forceras pas à changer de religion.— Il en sera fait selon tes prescriptions, affirmai-je avec sincérité.— Alors, Yasmina, tu vas passer une lune entière au cachot pour te punir de ta faute grave ! déclara avec autorité Abdul al Rachid. Les gardiens l’aidèrent à se lever et l’emmenèrent sans ménagement. Alors que je poussais un soupir de soulagement, deux autres soldats entrèrent avec une jeune fille africaine à la peau noire comme une nuit sans lune et aux vêtements déchirés. Elle se débattait comme une diablesse et ses gardiens avaient bien du mal à la maîtriser. Au premier abord, j’eus l’impression que les ...