1. Yasmina, princesse de l'Orient


    Datte: 18/06/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, danser, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init, historique,

    ... gardiens molestaient une fillette. En y regardant mieux, je constatai que la détenue avait sous son vêtement tous les attraits d’une femme. Gildas m’expliqua qu’il existait en Afrique des tribus d’hommes de petite taille appelées "Pygmées". Il me parla à l’oreille pour faire semblant de me traduire les échanges verbaux entre le Sultan, le Grand Vizir et les soldats. J’appris que la jeune fille en question refusait obstinément sa condition d’esclave. Elle avait été enlevée lors de l’attaque d’une caravane de marchands. Elle se rebellait, griffait, mordait et crachait sur ses gardiens, refusait de travailler. — Nous allons la laisser au beau milieu du désert, elle servira de repas aux bêtes sauvages, ordonna le Sultan, agacé.— Noble Sultan, puis-je la prendre comme esclave ? intervins-je, mal assuré.— Tu prends un risque ! ricana le Grand Vizir, après avoir écouté la traduction.— J’accède à ta demande, noble Marcus… Tu vois, je ne suis pas ingrat ! déclara Abdul al Rachid avec emphase. Non sans une certaine appréhension, je saisis les chaînes de la jeune esclave et sortis de la grande salle, sans précipitation, sous les murmures étonnés des autres… L’Africaine ne se débattait plus maintenant. Arrivé dans mes appartements, je me plantai devant elle et la détaillai avec attention. Elle était très petite… Elle m’arrivait à peine en dessous de la poitrine. Ses cheveux étaient courts et crépus, sa peau lisse et noire. Elle n’avait plus rien à voir avec la fille renfrognée et ...
    ... rebelle qui tenait tête aux gens du calife. Deux yeux en amande au regard malicieux ornaient son visage rond aux lèvres épaisses qui cachaient deux rangées de dents immaculées. Elle était vêtue d’une sorte de tunique de tissu multicolore qui lui collait au corps et laissait deviner ses formes féminines. Le vêtement s’arrêtait un peu au-dessus du genou et lui laissait les bras nus. J’eus une bouffée de désir en imaginant ma jeune esclave noire entièrement nue. Du bout des doigts, je touchai le sommet de son crâne pour me rendre compte de l’étrange texture de sa courte chevelure. La jeune fille ne recula pas. Encouragé, je glissai une main sur la peau satinée de son bras. C’était la première fois que j’étais en présence d’une Africaine… — Bon, que vais-je faire de toi ? Comment vais-je me faire comprendre ? dis-je tout haut, pour moi-même.— Eh bien, il suffit de me parler ! dit-elle en découvrant ses dents blanches. Je m’étranglai de surprise. — Tu parles ma langue ? bredouillai-je.— Oui, noble seigneur… Détache-moi, je ne me sauverai pas, c’est promis ! répondit-elle en un parfait français, en me tendant ses poignets. Abasourdi, j’accédai à sa requête et l’invitai à s’asseoir pour me raconter son histoire. — Je m’appelle Yoala et j’ai faim et soif ! déclara-t-elle. Je nous fis donc servir thé et pâtisseries, puis l’écoutai. J’appris qu’elle avait été enlevée avec bon nombre de gens de son clan par des marchands, pour être vendue comme esclave. Les gens du Sultan avaient pillé la ...
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