1. Yasmina, princesse de l'Orient


    Datte: 18/06/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, danser, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init, historique,

    ... caravane, récupéré marchandises précieuses, dromadaires, mules et prisonniers. J’appris que dans son clan elle était de noble rang, puisque fille du chef. C’est un missionnaire jésuite, qui s’était installé il y a fort longtemps dans son village, qui lui avait appris le français. — Maintenant, tu es mon esclave… lui fis-je remarquer.— Je ne suis la propriété de personne. Je t’ai suivi parce que tu es moins barbare que les hommes du Grand Vizir et de son sultan. Je te servirai parce que tu m’as tirée de leurs griffes… Yoala attendait sans doute de ma part une réaction de colère. Incapable de résister à son sourire de défi, je lui souris à mon tour et la confiai à Aïcha, avec des instructions précises. Yasmina occupait mes pensées. Les visites étant interdites, Gildas négocia âprement avec les gardiens des geôles pour que nous puissions entrer. On m’autorisa donc à descendre dans le minuscule cachot où était emprisonnée ma princesse. Vêtue d’une grossière tunique de toile rugueuse, elle se jeta dans mes bras avec un bruit sinistre de chaînes, sous l’œil d’un eunuque chargé de nous surveiller par le judas. À la fin de ma visite, Yasmina obtint de ses gardiens, à grand renfort de suppliques larmoyantes… et de quelque monnaie sonnante et trébuchante, le droit à une visite journalière… Sous étroite surveillance, bien entendu. En fin d’après-midi, retournant dans mes appartements, je passai devant les cuisines d’où émanaient de subtils parfums. Sans me faire remarquer, je demandai ...
    ... à Aïcha que ce soit la nouvelle esclave qui serve mon dîner. J’étais assis devant mon écritoire quand la jeune Africaine apporta le plateau qu’elle déposa sur la table basse. Je me levai et m’approchai d’elle pour la détailler. — Tu désire autre chose, Maître ? s’enquit-elle. Ses bras étaient ornés chacun d’un bracelet d’ivoire, ainsi que sa cheville droite. On lui avait donné une tunique blanche plus courte, qui lui arrivait à mi-cuisses, faite d’un tissu plus fluide que sa précédente tenue. Je la savais nue dessous, car les esclaves n’étaient pas assez riches, bien sûr, pour posséder de nombreux vêtements. Un désir immédiat monta de mes reins. Mon sexe réagit tout de suite. — Oui, je désire autre chose. Apporte-moi de l’eau et des fruits… et, pour me servir, je veux que tu sois nue.— Il me semblait bien, Maître, avoir aperçu dans tes yeux la lueur du désir… dit-elle, en découvrant ses dents blanches. Plus tard, alors qu’assis en tailleur sur mon tapis préféré je finissais mon repas, elle revint avec un second plateau. À mon grand étonnement, la rebelle avait obéi et se tenait debout devant moi, toute nue, attendant mes ordres. Je laissai errer mes yeux sur elle, fasciné par cette peau noire et brillante. — Viens ici, manger avec moi quelques fruits secs, lui ordonnai-je en lui désignant une place à mon côté. Sans chercher à se cacher, elle prit place, assise en tailleur comme moi. J’avais beaucoup de mal à détacher mon regard de son entrejambe. La belle Yoala le remarquait ...
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