Bungalows - Histoires de Sexe

Bungalows

Dès le soir de notre arrivée, nous avons sympathisé avec David et Virginie, nos voisins de table du village de vacances. Ce matin, courte promenade avec eux dans les environs. Les filles sont devant, Virginie les fesses moulées par un tout petit short et Sylvie en jupe légère que soulève parfois le vent venu de la mer. Au retour, Virginie veut montrer son nouveau bikini à Sylvie et l’entraîne dans leur bungalow pendant que David reste dans le nôtre à bavarder avec moi. Sylvie est visiblement troublée quand elle revient. David la regarde, amusé. — Alors ?— Il lui va bien. Il faut que j’en achète un, moi aussi. J’ai un peu grossi depuis l’année dernière.— En haut ou en bas ?— En haut et en bas. C’est depuis que je vis avec Julien. Il me fait de trop bons petits plats.— Ah, tu aimes cuisiner, toi aussi ?— Oui, mais Sylvie exagère, elle rentrerait dans son slip de bain de l’année dernière. Et comme elle enlève le haut quand elle est sur plage… David déshabille du regard ma douce compagne avant de s’en aller. Alors, Sylvie : — Tu sais, il l’attache quand ils font l’amour !— Ah bon ?— Oui. J’ai vu dans leur chambre des foulards liées aux quatre pieds du lit. Virginie m’a dit qu’elle adorait se sentir totalement à la merci de David, comme soumise, tu vois. Parfois il la laisse seule, bras et jambes écartés, les yeux bandés. Puis il revint, bien sûr, mais elle ne sait pas si c’est vraiment lui qui lui fait l’amour, ensuite… Enfin, elle joue avec cette idée, tu comprends. Une ...

... boutique de vêtements. Il y a des bikinis en vitrine mais à notre demande la vendeuse nous présente d’abord un grand carton qui contient des écharpes. Nous en choisissons cinq, ce qui fait sourire cette jolie femme aux yeux bleus. Sylvie demande ensuite à voir les bikinis et va en essayer dans la cabine. Je la suis. Elle ne tire pas totalement le rideau, pour que je puisse la voir. Que j’aime ses seins aux pointes si sensibles, son ventre, son pubis à la pelouse triangulaire et le corail qui se montre, le coquin, quand elle écarte les cuisses ! Elle sort un peu la langue, de corail elle aussi, en nouant les cordons sur ses hanches. Il me sera facile de tirer dessus. — Il faudra que je m’épile un peu ! Virginie, elle…— Oui ?— Pas un poil ! David préfère. Virginie a les yeux clairs, des taches de rousseur sur le visage et des cheveux roux avec des mèches blondes. Au cours du repas, David demande si nous irons à la plage dans l’après-midi. — Bien sûr !— Si vous voulez, nous passerons vous prendre.— Avec plaisir. Dans notre bungalow, ma petite chérie veut d’abord éliminer les poils superflus. Une cheville sur la cuisse opposée et une pince à épiler à la main, ellese fait le maillot, comme elle dit, en poussant de petits piaulements. — Aïe ! Aïe !— Tu ferais mieux de me laisser faire.— Ne me trouble pas !— Donne-moi cette pince.— Je sais trop comment ça va se terminer.— Je te jure que je les arrache d’abord.— Promis ?— Promis, ma chérie. Va sur le lit. Enlève tout.— Mes seins n’ont pas ...