Bungalows - Histoires de Sexe

Bungalows

... bungalow de nos nouveaux amis est entrebâillée. Je la pousse. David est nu, la verge verticale. Je m’approche du lit, le regard fixé sur la chatte de Virginie, bombée comme un fruit. Ses grandes lèvres sont l’écrin des petites, délicatement ourlées, déjà luisantes. — Oh, David, c’est horrible, dépêche-toi de venir en moi, j’ai tellement envie !— Nous avons tout notre temps, mon amour. D’abord la plume de goéland. Quand nous l’avons trouvée tout à l’heure, je t’ai bien dit qu’elle servirait à caresser longuement ton corps de déesse.— Fais-moi l’amour au lieu de faire des phrases, idiot !— J’aurais pu aussi bien prendre un bouquet d’orties, tu sais. Ce sera pour demain, peut-être.— Alors tu les mettras entre nous, comme la dernière fois. Tu étais encore plus rouge que moi. Rouge avec des taches blanches ! Mais viens, viens vite. Rien que d’y penser…— Patience, ma chérie. David fouette les tétons de sa compagne avec la pointe de la plume. Déjà gorgés de sang, ils en grossissent encore. D’un bref regard, David vérifie si je bande sous mon slip de bain, et s’en amuse. Il me tend la plume et recule sans bruit pour que je prenne sa place. Je taquine les tétons, comme il le faisait. Je chatouille le nombril. La plume gratte enfin les grandes lèvres, vibre sur les petites qui frémissent et s’entrouvrent. Comme je voudrais y mettre la bouche ! Ou au moins les doigts. J’interroge David du regard en lui montrant ma main mais il fait non de la tête. Je dois me contenter de la plume. Eh ...

... bien, j’en glisse la pointe entre les lèvres, cherchant le clitoris qui ne tarde pas à se montrer. Comme j’aimerais boire à cette source qui palpite ! — Oh David, c’est atroce ! C’est ta bouche que je veux, ta langue, ta queue !— Plus tard, ma chérie, plus tard. Maintenant je vais draguer dans le village. Je rencontrerai peut-être nos gentils voisins, je leur dirai bonne nuit de ta part. Il ferme la porte et glisse la clé dans la petite poche du slip de bain qu’il vient de mettre. De la main, j’effleure les pointes des seins de Sylvie. Elle respire profondément, prête à ronronner. Je recule et fais signe à David : plus généreux que lui, je lui cède les seins de ma compagne,. C’est donc à son tour de les effleurer, puis de les pincer délicatement. — Plus fort ! David me regarde, interrogatif. Je lui fais signe qu’il peut y aller. Il pince plus fort. — Oui, oh oui, j’adore quand tu me fais un peu mal ! Oh, c’est bon, c’est bon ! Tes lèvres, maintenant, vite ! Il se penche et suce les tétons de ma petite chérie, sans avoir sollicité ma permission, cette fois. Mais il se redresse enfin. Le corps de Sylvie se tend, son bas-ventre se soulève autant que le lui permettent les liens qui la clouent sur le lit. Le moment est venu d’approcher la bouche de sa chatte pour happer son clitoris. Mais je ne veux pas que David le fasse, je le repousse doucement. Il porte alors la main à la poche de son slip de bain et me tend la clé de son bungalow. Je refuse son offre d’un sourire navré. Il s’en ...