Bungalows - Histoires de Sexe

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... besoin d’être épilés, eux ! Mais qu’est-ce que tu fais ?— Eh bien, j’inaugure les écharpes. Elle se débarrasse de ses vêtements et se jette sur le lit, bras et jambes écartés et aussitôt attachés. À genoux à côté d’elle, je m’applique à extraire les poils. — Mais tu me fais mal, Julien !— J’en ai pris deux ou trois d’un coup, sans faire attention. Pardonne-moi. Tu comprends, je suis un peu troublé par le spectacle. J’ai bien envie de trahir ma promesse. Un petit bisou sur la petite chatte ?— Non ! Tu as promis.— Vraiment non ? Tu sais, tu es attachée, incapable de te défendre…— Viens. Ma bouche cherche la sienne, qui se refuse. Elle ferme les yeux. Elle doit imaginer que c’est un autre que moi qui lui fait l’amour. Les seins de Virginie sont mignons, écartés, plus petits que ceux de Sylvie mais aux pointes sombres et plus grosses. — Tu viens dans l’eau, Julien ? me demande Sylvie.— Tout à l’heure. Je suis bien, à rôtir au soleil. Elles y vont ensemble. David s’approche de moi en jouant des coudes et des genoux. — Virginie m’a dit que Sylvie avait été intriguée par les foulards, aux quatre coins du lit. Elle pense que vous en avez achetés, en même temps que le bikini. Elle se trompe ?— Non.— Tu pourrais venir dans notre bungalow vers neuf heures ce soir, sans faire de bruit. Virginie sera en position.— Et Sylvie ?— Eh bien, tu l’auras attachée, évidemment. Elle attendra. On ira la voir ensuite. C’est si tu veux, naturellement. Fin d’après-midi paisible, tantôt dans l’eau, ...

... tantôt sur le sable. Puis nos compagnes se rhabillent. Je le regrette car je ne me lasse jamais de regarder les seins des femmes. En quittant la plage, David ramasse une plume de goéland et murmure quelque chose à Virginie. Le dîner achevé, nous nous attardons un peu sur la terrasse. Mais vient enfin le moment de nous séparer. Bises. Virginie sent bon. Joues de pèche, jeune peau que le soleil a déjà teinté de rose. David a brièvement serré contre lui le corps de ma compagne. Vite, une douche. Sylvie m’y rejoint. Nous nous savonnons mutuellement puis, comme d‘habitude, je promène sur son corps le jet d’eau tiède que j’ai réglé à la pression maximum. Les pointes de ses seins se gonflent aussitôt, les lèvres de son délicieux minou s’écartent et palpitent comme des anémones de mer. À peine essuyée, elle se jette sur le lit et s’allonge sur le dos, bras et jambes ouverts. Je noue les écharpes, deux rouges autour de ses chevilles, deux noires autour de ses poignets et la dernière sur ses yeux, après de tendres baisers sur ses paupières. Mes lèvres descendent ensuite sur ses seins, dont je suce et mordille les pointes. Elle soupire d’aise. — Oh, mon chéri, comme j’aime ce que tu me fais ! Descends un peu plus, s’il te plait !— Sois patiente. D’ailleurs je te quitte, je vais faire un tour dans le village. J’enfile mon slip de bain et je quitte le bungalow dont je ferme la porte à clé. Je n’ai pas envie que ma petite chérie se fasse violer, même si c’est un de ses fantasmes. La porte du ...