1. Bungalows


    Datte: 18/06/2021, Catégories: fh, couple, couplus, voisins, fépilée, vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, massage, rasage, jeu, sm, attache, yeuxbandés, fouetfesse, piquepince, orties, entrecoup,

    ... Puis je quitte sa bouche pour descendre mes lèvres sur ses seins, que les vagues secouent. — Tu peux mordre un peu, j’adore ça. David et Sophie s’embrassent, eux aussi. Thomas prend Sylvie par les épaules, la retourne et empaume ses seins. Elle se frotte à lui, ses fesses contre son bas-ventre. Elle ne semble pas avoir perdu son slip mais avec les mains dans l’eau elle pourrait l’écarter. Celui de Virginie se montre tout à coup, flottant au large. — Le premier qui me le rapporte… Thomas lâche Sylvie et se lance dans un crawl de compétition. — Tiens, le voilà ! Alors, qu’est-ce que j’ai gagné, Virginie ?— Tu le sauras ce soir à neuf heures. Puis elle se tourne vers moi : — Tu aurais dû prendre la clé, hier soir, Julien ! — Tu aurais préféré prendre ta douche avec Virginie ou Sophie, hein ?— Et toi avec Thomas ? Fallait voir comme tu te frottais les fesses contre lui pendant qu’il te pelotait.— Tu crois ? Enfin… Bon, c’est l’heure d’aller déjeuner. Tu vas les retrouver.— On a bien cinq minutes ! J’ai quelque chose à te dire. Hier soir, pendant que tu étais attachée…— Oui, eh bien ?— Je suis allé dans leur bungalow. Virginie était dans la même situation.— Ah ! Et ensuite ?— David est venu ici.— C’est lui qui a sucé les pointes de mes seins ?— Oui.— Je m’en doutais, figure-toi. Allons manger. Thomas et Sophie ont négocié un changement de place avec un vieux couple pour être à la table voisine de la nôtre. Le repas est joyeux, émaillé de plaisanteries légères mais jamais ...
    ... vulgaires. Sophie est un peu maso. Nous nous en doutions. Et nous ? Un peu aussi, comme tout le monde sans doute. Et pas sados ? Même réponse. Plus ou moins sados, ou masos ? Oh, les deux à la fois ! — Ce que j’aime, dit Thomas, c’est de ressentir le même mélange de souffrance et de plaisir que ma partenaire. Pas vous ?— Mettre par exemple quelques orties entre elle et toi, quand vous faites l’amour ?— C’est une idée, ça, David ! Tu l’as fait avec Virginie, je suppose, sinon tu n’en parlerais pas. Et ça t’a plu, Virginie ?— C’est moi qui avais eu l’idée.— Il faudra qu’on essaye. Et toi, Sylvie, tu as pris des initiatives de ce genre ?— J’aime bien qu’on pince un peu les pointes de mes seins, et pincer les tétons de… Julien.— Un peu banal. Surtout si c’est avec… Julien. Ils nous parlent des photos numériques qu’ils s’amusent à prendre, parfois, et nous invitent à venir en voir quelques-unes dans leur bungalow. — Il est bien trop tôt pour retourner à la plage, et il serait raisonnable de rester à l’ombre, cet après-midi, n’est-ce pas ? La table de métal, ordinairement sur la terrasse, a été rentrée et un ordinateur portable ouvert est posé dessus. L’écran est noir mais Thomas appuie sur une touche et une photo apparaît au bout de quelques instants. Sous un pin, prisonnier de l’entrelacs des racines dégagées du sable par l’érosion, un corps de femme. Elle est nue, c’est Sophie. Une racine écrase un sein, une autre pèse sur le pubis entrouvert, une jambe tente de se dégager dans un ...
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