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EN NOIR ET BLANC
Datte: 18/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe
Tout a commencé un soir de pluie. Caroline s’ennuie, seule à la maison. Elle tapote sur son ordinateur et finit par accepter un tchat avec un inconnu nommé Max. Commence alors une nuit de délire ou les deux protagonistes, sans doute fragilisés par un spleen bien explicable, rivalisent d’aveux intimes. De confidence en confidence, les heures passent et le ton devient de plus en plus affectif puis sexué. Lorsqu’il lui propose de continuer en visioconférence, elle refuse car elle trouve cette « manière de s’exhiber décevante ». Il insiste, lui adresse une photo de lui totalement nu, couché sur un lit face à l’objectif, mais elle résiste à l’incitation. Elle finit, de guerre lasse, par lui envoyer un ancien cliché d'elle déshabillée et sans tête. Dès qu'il la reçoit sur sa messagerie, Max. s'empresse de l'enregistrer et de l'agrandir. Elle est debout face à l'objectif. Un grand miroir donne à voir son dos à la caméra. Son corps est admirablement entretenu. Le noir et blanc de l'image souligne encore s'il en était besoin la finesse de son grain de peau. Ses hanches et ses cuisses sont larges. En leur centre un trait de poils pubiens prolonge la courte et fine fente de son sexe. Ses jambes et ses bras, légèrement écartées, ne laissent voir aucune pilosité. Son sein lourd cache coquettement le haut d’un petit ventre légèrement rebondi. Ses épaules droites viennent souligner un torse triangulé qui vient mourir sur de larges fesses magnifiquement proéminentes. Mains et pieds sont ...
... longs et fins. Les bras sont potelés et les mollets étonnamment galbés. Elle semble s'exposer avec plaisir au regard tant ses muscles semblent détendus. Max la trouve belle dans sa provocante nudité. Une alléchante légende dit: « Pour voir le reste, demain à 13:00, café de la gare. Caroline ». Après une nuit plus qu’agitée et une interminable matinée de travail, Max se rend presqu’en courant au lieu de rendez-vous. L’établissement est vide. Seule une femme d’une quarantaine d’années finit de déjeuner à une table enserrée entre deux banquettes de moleskine située en vitrine de l’établissement. Elle est vêtue d’un long imperméable de popeline légère boutonné jusqu’au cou. Max accroche son regard qui l’invite à approcher. Alors qu’il s’assoit, elle déboutonne le vêtement et dévoile un caraco porté à même la peau. Il reconnait l’imposante poitrine de la photo et la contemple avec envie. « Vous êtes bien Caroline » dit-il sans attendre vraiment de réponse. La tête de son interlocutrice dodeline comme pour confirmer la constatation, alors que sa main en finit avec l’ouverture du manteau. Elle écarte largement les jambes pour montrer une culotte transparente qui laisse voir un sexe épilé. C’est bien elle ! Il la trouve aussi jolie en couleur naturelle qu’en photo N&B !... L’heure qui suit est occupée à deviser sur leurs expériences de sexe sur Internet. Les évocations deviennent torrides. Le rouge monte aux joues de Caroline et Max se sent excité au point de se sentir à l’étroit dans ...