1. EN NOIR ET BLANC


    Datte: 18/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... son jean. Une couture rigide meurtrit douloureusement sa verge. L’heure de reprendre le travail arrive et ils évoquent rendez-vous au resto chinois, le samedi soir suivant. Max la raccompagne à son véhicule garé dans une ruelle déserte. Ils s’embrassent langoureusement. Au moment de se glisser au volant, Caroline se défait de son manteau. Elle apparaît alors dans toute sa magnificence, quasi nue dans cet ensemble caraco et culotte transparents. Dieu que Max la désire ! Elle se colle à lui tendrement et en profite pour glisser un papier dans sa poche. Elle monte en voiture et disparaît, vrombissante. A peine remis de cette bruyante sortie de scène, Max sort fiévreusement le message de sa poche et lit : « Si tu me veux toute à toi en couleur, tu dois être à la hauteur de ce que je t’offre ! RDV demain à 12:02 sur le quai n°3 de la gare ferroviaire à l’entrée du passage souterrain. Une tenue indécente laissant deviner les parties intimes de ton anatomie est exigée ! Le noir et blanc est de rigueur. » De retour chez lui, il se met à la recherche d’une vêture adéquate. Il finit par opter pour un short moulant noir et un marcel blanc qu’il porte à même la peau ; des sandalettes complètent l’ensemble. Dans cet apparat, sa nudité est évidente. La moindre excitation sculpte le short et ses tétons durcis jaillissent en relief du marcel au bout de quelques secondes. Il pense : « J’ai l’air d’une putain ! Je vais devoir éviter de me faire trousser en chemin ! » Pour parfaire sa tenue il ...
    ... commence à utiliser abondamment la crème à épiler sur ses jambes, puis il élargit le traitement au reste du corps (aisselles, torse, bas ventre, raie des fesses). Une douche plus tard il se livre à l’essayage. « Génial ! Ce sera pire que d’être nu en public. » Le lendemain, il se rend à pied sans trop de difficulté à la gare. Le chemin se passe sans problème. Par contre, l’épreuve commence lorsqu’il est confronté au regard des nombreux voyageurs qui débarquent à 12 :01 du train sur le quai 3. Il est de nombreuses fois déshabillé du regard. Certains le scrutent avec d’insultants sourires entendus. Un se risque même à baisser furtivement son short pour lui caresser les fesses. Il est à la fois honteux et excité, très visiblement excité. Lorsque les derniers voyageurs arrivent, Caroline ne semble toujours pas là… Inquiet, il la cherche. Il finit par la localiser au-dessus de lui, sur la passerelle. Elle le contemple, sans doute depuis un long moment. Son regard égrillard en dit long sur son état d’esprit. Elle descend vers lui, lui prend la main et, sans un mot, le fait grimper dans un train régional stationné tout près. A peine montés, elle baisse le short de son compagnon à la limite de son bas ventre, retrousse légèrement le marcel au-dessus du nombril et exhibe son complice debout dans un espace dépourvu de sièges. Le train est vide et pourtant l’émotion le gagne. Son corps glabre lui semble d’une extrême nudité. Il a honte du plaisir visible qu’il ressent dans cet appareil. ...