EN NOIR ET BLANC
Datte: 18/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... Il la regarde en rougissant… ! Elle est chaussée de tongs et vêtue d’une courte robe moulante, portée à même la peau, qui ne laisse, au moindre mouvement, rien ignorer des secrets de son anatomie. Il est partagé entre l’émotion de sa propre exhibition et l’excitation qu’il ressent de celle de sa compagne. Les minutes passent et les protagonistes restent debout, comme figés, lui troussé et elle robe soulevée par une main posée sur la hanche, une fesse à l’air. Puis les premiers voyageurs montent dans le train. D’abord embarrassés, ils finissent par contempler avec sans-gêne les corps offerts. A cette heure de la journée le flot des voyageurs est important et la rame se remplit. Lorsque le train démarre, de nombreux voyageurs sont restés debout et nos amis se sentent tout d’abord effleurés par les vêtements de leurs voisins. Très vite, le corps de la femme subit des contacts « impromptus » puis explicites et insistants. Des mains, majoritairement masculines, explorent sa poitrine et la massent, d’autres s’engagent entre ses cuisses puis pénètrent ses fesses et son sexe. Sa robe vole rapidement au-dessus d’elle et disparaît dans un filet à bagages. Elle est là, ravie et exhibée, le corps insolemment dénudé couvert de mains avides qui tantôt pelotent, tantôt fouillent dans tous les orifices offerts. Max est sidéré et excité de ce qu’il voit ! Son sexe manifeste ostensiblement son plaisir et se dresse à demi. C’est sans doute en partie à cause de cela que d’autres mains, douces ou ...
... rudes s’intéressent soudain à son anatomie. Aux attouchements succèdent les caresses. Ces dernières se font plus intrusives et glissent sous les frêles vêtements. On emprisonne son sexe, glisse un doigt dans sa raie culière, pince ses tétons. Il sent des mains féminines ou masculines, calleuses ou douces, agressives ou sereines, prendre possession de toute sa peau. Son short baissé entrave ses chevilles et son marcel lui sert de collier. Il se sent à la fois heureux et ridicule. Il se tortille sous la caresse alors que son amie se contente calmement de faciliter celle-ci. Lorsque l’on dégage son cou et ses pieds des entraves, il écarte, tout comme elle, largement les jambes pour laisser ses agresseurs fouiller son intimité. Au bout de quelques minutes, Caroline a la respiration de plus en plus haletante. Toute sa peau est réceptive à la caresse, ses zones érogènes sont sollicitées à un tel point qu'elle est maintenant complètement écartelée. Ses bras, suspendus à une barre d'appui, comme ses jambes, forment un angle largement ouvert. Les autres voyageurs en profitent sans vergogne. Elle sent son sexe et son cul dilatés à l'extrême, ses fesses disloquées, ses seins mordus et meurtris, sa peau labourée et éraflée par des doigts avides. Mais surtout ce qui la transporte c'est de voir Max ainsi enflammé par la situation. Elle le trouve à son goût avec son ventre rond, son petit sexe raidi, ses fesses rebondies, sa poitrine imberbe et son doux visage rouge d’émotion. Son attitude ...