1. Einstein (3)


    Datte: 09/11/2017, Catégories: Zoophilie,

    Laisser-aller et bonne fortune ! Le type du début, l’initiateur venait de l’interpeller. Surprise, elle s’arrêta un instant et l’autre insistait. — Allons ! Laissez-vous tenter ? Vous avez gagné ? — Je n’ai pas perdu, c’est déjà cela... — La chance des débutantes ! Je vous l’avais dit. Moi j’ai beaucoup perdu, mais venez, j’ai gardé de quoi vous payer tout de même un verre. Une première, ça s’arrose. Le gars avait sans doute dix ou douze ans de plus qu’elle. Mais ses tempes blanchies lui donnaient un air sympathique et Maryse se laissait tenter. Après tout, elle était venue pour... draguer un peu et celui-ci ou un autre, quelle importance ? — Je m’appelle Victor et la jolie dame porte quel prénom ? — Maryse. — Alors Maryse, que voulez-vous boire ? — Une Vodka orange... — C’est parti ! Victor venait de faire un signe à une charmante femme toute de noir vêtue. Elle prit la commande et préparait les verres derrière son bar, un impénétrable sourire vissé sur les lèvres. Une serveuse très stylée et avenante, la jeune brune songea un instant à cela alors que les boissons venaient d’être déposées devant eux. Apparemment le gars avait pris quelque chose de plus... corsé. Sans doute un Whisky. Quand il leva son verre, elle fit pareil et ils trinquèrent. — À votre chance ! — Merci. — Que faites-vous seule dans un endroit comme celui-ci ? Il n’y a donc pas de mari, pas un garçon qui vous attend quelque part ? Une belle femme comme vous ? — Non ! Juste... un chien. Elle avait appuyé ...
    ... sur le mot chien comme pour se persuader que... mais il n’avait pas compris et heureusement, l’allusion qu’elle venait de faire. — Au moins c’est fidèle un toutou ! — Oui ! Et je suis séparée depuis... un moment. — Dire qu’il y a des mecs assez fous pour laisser partir une belle plante comme ça ! Il venait de marmonner ces mots entre ses dents, mais c’était suffisamment clair pour qu’elle comprenne. Elle rougit presque sous ce compliment déguisé. — Vous vous sentez trop seule parfois et vous venez donc pour tuer le temps jouer au casino ? — C’est un peu cela, oui ! Mais bon, ce n’est pas la grande foule ici non plus. — Il suffit peut-être de la bonne personne parfois, pour que le ciel du jour s’éclaircisse, vous ne pensez pas ? — ... — Oui ! Une rencontre peut casser un peu la solitude et égayer la soirée ? Vous n’êtes pas d’accord ? — Je... je ne sais pas trop ! — Vous seriez contre le fait de réunir nos deux solitudes pour un petit moment ? Maryse ne répondait pas. Ce Victor la regardait avec des yeux fiévreux. Il avait dans le regard ce que tous les hommes du monde portent en eux dès qu’ils ont envie de cul. Elle avait souvent vu ces éclats dans les prunelles d’Alix. Mais c’était... avant, avant les scènes, avant ses maitresses aussi sans aucun doute. Elle songeait soudain que finalement cela s’avérait plus aisé qu’elle ne l’aurait cru. Et l’idée qu’elle allait sans doute se laisser séduire et faire l’amour avec cet inconnu faisait que son corps réagissait. Et il le faisait ...
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