1. Einstein (3)


    Datte: 09/11/2017, Catégories: Zoophilie,

    ... plaid de laine qui était sagement plié sur le coin droit du sofa. — Ah ? Ben... oui, prenez-le, si vous avez froid. — Je n’ai pas froid, mais... Victor venait de se relever et il prenait les quelques ramasse-poussières qui ornaient la longue table basse du salon. Abasourdie, la brune ne bougeait pas sur son siège. L’autre étendait le plaid sur le tablier de la table, tranquillement comme s’il était chez lui. — Vous voulez bien vous mettre à l’aise ? Un petit massage, ça ne peut pas vous faire de mal. — Un massage, mais... vous savez faire ce genre de... — bien sûr ! Allons ! Retirez votre chemisier et votre jupe. Restez en petite culotte et en soutien-gorge, je vais dans ma voiture chercher des huiles essentielles. Vous permettez ? Elle regardait l’homme qui calmement allait vers la porte pour se rendre à son véhicule. Il aurait été aisé de fermer la porte à clé dès sa sortie. Elle n’en fit rien. À son retour elle n’avait pas bronché. ukruttjv — Vous préférez que ce soit moi que me charge de vous dévêtir ? C’était dit avec une voix sans ton péremptoire et elle se levait aussi d’un coup. Ses doigts tremblaient alors qu’un à un les boutons de sa chemise entrebâillaient celle-ci. Puis sa jupe, bien pliée se retrouvait sur son fauteuil. Il la soulevait dans ses bras pour l’allonger, ventre contre le plateau de la table. Il avait avec lui, une petite mallette et de celle-là, il extrayait des flacons colorés. À genoux entre le divan et la table, un filet d’huile coulait déjà sur ...
    ... les épaules de Maryse. Elle n’en revenait pas ! Un inconnu trois heures plus tôt, chez elle allait la masser. Les mains chaudes de gars avaient déjà pris possession de la peau du cou. Il relevait les cheveux pour frotter doucement la nuque ainsi dégagée. Puis il descendit vers le milieu du dos. Là, les doigts furent un peu bloqués par l’attache du soustingue et il évita de s’en approcher trop. Mais au bout des dix minutes de ces attouchements presque tendres, c’était elle qui avait retiré tout bêtement l’objet gênant. — Quelle peau douce ! Vous êtes une très jolie femme ! — Merci. Il arrivait au-dessus des fesses et une fois de plus il ne tentait pas de soustraire la culotte assortie au cache seins. Et comme pour la première pièce, elle se soulevait un peu le bassin et glissait le triangle de quelques centimètres. Cet abandon fut pour lui comme une invitation. Entre ses pouces et ses index, il roulait la dentelle et elle se retrouvait de suite avec la jupe et le corsage. Elle avait envie qu’il continue, qu’il soit même plus entreprenant. Ils étaient allés tous les deux trop loin pour qu’elle renonce désormais. Il étirait sa peau, malaxant, pétrissant comme du bon pain la pâte encore ferme de cette chair si agréable au toucher. Les doigts du magicien assouplissaient le cuir, et elle en appréciait la délicatesse. Maintenant, il remontait le long de sa cuisse, entourant cette jambe dans ses paumes pour ne s’arrêter qu’à la fourche formée par la réunion du tronc et des membres ...
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