1. Einstein (3)


    Datte: 09/11/2017, Catégories: Zoophilie,

    ... même au quart de tour. Son ventre se nouait rien qu’à songer à... enfin, elle évitait de se réjouir trop rapidement et elle ne quittait plus des quinquets, le visage du type qui se trouvait à ses côtés. — Vous ne parlez plus ? Je suis trop vieux pour vous ? Je peux comprendre ce genre de chose, vous savez. Mais à mon âge, les occasions sont si rares et vous êtes... si attirante. Oubliez donc ce que je viens de vous dire et puis voilà ! — Ce n’est pas ça... c’est que vous m’avez surprise. Mais... — Oui ? Mais... puisqu’il y a un mais ! — Chez vous ou chez moi ? — Je ne suis pas d’ici, et si vous voulez faire les kilomètres en voiture... je vous invite pour la nuit. — Non ! Je vous ai dit que j’avais un chien. Alors je ne peux pas le laisser seul toute une nuit. Mais si vous voulez, nous pouvons aller chez moi. — Bien volontiers ! Je règle les consommations et je vous suis. Il avait sorti un billet de sa poche et la barmaid, toujours aussi souriante empochait la coupure et rendait la monnaie. Ils sortaient ensuite du casino, comme s’ils se connaissaient depuis toujours. On aurait dit deux amis, deux amoureux ou deux amants. Maryse pourtant ne se sentait pas très vaillante. Elle venait d’inviter un mec à l’accompagner chez elle et elle savait déjà que celui-ci allait la baiser. Et le risible de l’histoire, c’était qu’elle en ressentait déjà une sorte de sentiment jubilatoire, que ses tripes réagissaient en la faisant mouiller. Comme une cochonne ! C’était exactement le reflet ...
    ... de sa pensée alors qu’elle démarrait du parking. — oooOOooo — Tout le long du court trajet, elle contrôlait dans son rétroviseur que Victor suivait. Et naturellement qu’il ne la lâchait pas d’une semelle, l’occasion était trop belle. Plus elle se rapprochait de sa maison et plus elle se sentait nerveuse. Mais son désir était là, démesuré, et il faisait d’incroyables gargouillis dans son ventre. Devant sa porte d’entrée, elle attendait qu’il la rejoigne et c’est une fois de plus ensemble qu’ils se retrouvaient dans le hall. Einstein était déjà là à flairer le nouveau, l’inconnu. Il ne montrait aucun signe d’agressivité et le type lui flatta la tête. — Bon, viens mon beau ! Tu vas aller un peu courir sur la pelouse Dès la porte-fenêtre ouverte, l’animal filait comme un dératé, Maryse referma sur lui. Il serait mieux dehors après tout. Elle demandait ensuite à son visiteur de passer au salon et de prendre place sur le divan. Elle collait ses fesses sur l’assise d’un fauteuil. — Vous voulez boire quelque chose ? J’ai du... — Non ! Je conduirai tout à l’heure, il faut bien rentrer. Mais c’est gentil à vous de proposer. Moi aussi je peux vous proposer... — Pardon ? — Oui ! Je suppose que vous et moi sommes deux adultes et que nous savons donc ce que nous voulons. Alors puis-je prendre les choses en mains ? — ... Maryse avait haussé les épaules, comme si elle tombait des nues. Alors je type insista un peu. — Puis-je préparer... et me servir de ceci ? Il montrait de son index tendu le ...
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