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Einstein (3)
Datte: 09/11/2017, Catégories: Zoophilie,
... femme avec tendresse. — Vous voulez bien vous mettre sur le dos, le côté face mérite aussi un peu d’attention ! Sans un mot, elle se tournait, le nez vers le plafond et il reprenait ses danses digitales. Un vrai bonheur. Ce massage durait depuis une éternité et Victor ne s’impatientait vraiment pas. Il profitait pleinement de la vue de ce corps offert, sous la lumière blême d’une minuscule lampe de chevet bien loin sur une sorte de guéridon. Quand il lui caressa la chatte, elle ronronnait depuis bien longtemps. Et ses doigts poisseux le renseignaient sur l’état de ce sexe qui secrétait sa mouille. Elle était prête pour la monte. Mais il voulait encore faire durer le suspense et elle dut encore se plier à deux ou trois demandes de sa part. La première étant de se mettre sur le côté et il massait de nouveau les flancs, s’attardait sur les seins dont la consistance lui plaisait beaucoup. Elle râlait littéralement, attendant qu’il la prenne totalement. Elle ne ferait aucune difficulté pour se laisser grimper. Il avait su y faire et mon Dieu comme elle se languissait de cet assaut ! Un ronron se faisait de nouveau entendre alors que Victor se penchait au-dessus du bassin de Maryse. Un objet lui arrachait des gémissements. Sur le clitoris il avait appliqué une sorte d’œuf qui au bruit devait vibrer de partout et transmettait des ondes à tout le corps de la jeune femme. Cette fois elle sentait que son orgasme jusque-là contenu allait exploser dans une myriade de sensations toutes ...
... plus intenses les unes que les autres. Les spasmes de son plaisir se diluaient en une multitude de couleurs, de nuances toutes plus improbables que les précédentes. Et elle partait dans son délire en s’accrochant à la chemise de son compagnon. Mais lui s’il se dévêtait enfin, ne paraissait pourtant pas pressé de la prendre. Un magnifique slip blanc et noir à larges bandes verticales camouflait encore cette bite qui affolait Maryse. — Venez ma belle ! Levez-vous s’il vous plait ! — ... Elle ne comprenait pas très bien la raison d’une telle demande, mais suivit le conseil de Victor. À son tour de se mettre à quatre pattes devant la table basse et il lui demandait également de mettre ses mains dans le dos. Pendant qu’elle plaçait ses bras dans la position demandée, il lui posait sur les yeux un masque, un tout pareil à ceux qu’elle passait la nuit pour être dans le noir intégral. Quand elle sentit le froid du métal qui encerclait ses poignets, elle comprit enfin que c’était des menottes qui venaient d’être fermées sur ceux-ci. Ses bras étaient tirés vers l’avant et le cliquetis de fermeture lui indiquait qu’il venait de la rendre prisonnière des pattes de la table basse. Si la position n’était pas confortable, elle se trouvait à genoux et la moitié du ventre sur le plateau de la table. Il faisait alors tourner dans ses fesses l’objet qu’il avait laissé là depuis le début de ses câlineries. Elle le sentait qui se frottait à elle et la chose qui lissait les lèvres de sa chatte, si ...