Après-midi sensuel
Datte: 21/06/2021,
Catégories:
ff,
ffh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
69,
couple+f,
Un timide soleil d’automne avait beaucoup de mal à réchauffer ce début d’après-midi quand je tendis la main vers la sonnette d’une petite villa. Mon long manteau de cuir au col relevé ne parvenait pas à camoufler ma silhouette que l’on devinait particulièrement agréable, voire attirante. J’étais invitée à prendre le café par Annie, la maîtresse de maison dont j’avais fait la connaissance lors d’une soirée chez des amis communs. Soirée très agréable au long de laquelle nous nous étions mutuellement appréciées. Moi, la quarantaine, mariée à un homme charmant dont je suis follement amoureuse, épanouie, à la silhouette orgueilleuse disent certains (Mon tour de poitrine et la cambrure de mes reins attirent le regard de beaucoup et j’en suis très fière). Annie un peu plus âgée, fine et souple, jolie sans être belle mais diffusant autour d’elle un magnétisme étrange. J’en avais d’ailleurs été troublée, je gardais à l’esprit le souvenir d’une danse que nous avions partagée. Sensation encore inconnue que le corps souple et sinueux de cette femme contre le mien, le contact de ses mains, involontaire ou non, sur mes hanches, mes reins. Ces effleurements d’une poitrine contre la mienne, cette jambe, cette cuisse ferme et musclée qui s’attardait par instant contre mon ventre… Troublantes et étranges sensations que le sourire et l’entrain de cette femme à l’abord sympathique rendaient anodines. J’avais donc accepté avec beaucoup de plaisir de passer lui rendre visite cet après-midi-là. ...
... La porte s’ouvrit sur ma nouvelle amie qui m’accueillit en souriant, son regard gris bleu plongé dans le mien, faisant immédiatement renaître en moi ce léger trouble que j’avais ressenti lors de notre précédente rencontre. Elle s’effaça pour me laisser entrer, me précéda jusque dans un salon meublé d’un immense canapé et de fauteuils de cuir. Un grand tapis était jonché de poufs et de coussins qui cernaient une table basse. L’ambiance de la pièce était chaude, agréable. Passant derrière moi, Annie m’aida à enlever mon manteau. Elle m’indiqua de la main le profond canapé mais, avant de me laisser m’asseoir, elle me saisit la main, me faisant lentement tourner sur moi-même : — Hummm… Tu es toujours aussi jolie, ton petit ensemble te va à ravir ! dit-elle en riant, son regard admiratif me détaillant rapidement. En effet, je portais une petite jupe qui découvrait largement mes jambes, gainées de nylon, mettant en valeur mes hanches rondes, la cambrure de mes reins. Un joli chemisier de soie imprimée flottait légèrement sur ma poitrine fière que l’on devinait libre de tout soutien sous le fin tissu. Annie quand à elle, était vêtue d’une longue robe de jean, boutonnée devant mais que quelques boutons dégrafés, en haut et en bas, rendaient moins stricte en découvrant au moindre mouvement des jambes fines, un cou gracile, un charmant triangle de peau au creux du décolleté. Assises toutes les deux côte à côte dans le canapé, nous avons discuté de longues minutes de tout et de rien en ...