Après-midi sensuel
Datte: 21/06/2021,
Catégories:
ff,
ffh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
69,
couple+f,
... le nylon gainant mes jambes, atteignant le bas de ma jupe, remontant encore pour s’arrêter sur les arabesques de la dentelle d’un bas. J’imaginais aussi les pensées de son mari, toujours penché sur le dossier du canapé et qui ne devait rien manquer du spectacle que nous lui offrions. Les ongles vernis d’Annie crissèrent longuement sur la dentelle où ses doigts semblaient danser en silence, presque immobiles. Durant de longues secondes les doigts jouèrent ainsi, à la limite de l’innocente caresse et de la véritable agression charnelle, faisant monter la tension presque palpable dans le petit salon. La joue toujours posée sur ma cuisse découverte elle semblait calme, sereine, presque enfantine dans son attitude. Son mari restait de marbre, seuls ses yeux paraissaient vivre, parcourant le charmant tableau qui s’offrait à lui. Moi, les yeux mi-clos, je respirais plus vite, les lèvres entrouvertes, agitée de légers frémissements qui trahissaient mon trouble grandissant. Enfin, les doigts cessèrent leur danse. L’espace d’une seconde, la tension retomba, j’ai soupiré doucement. Jeu subtil et horrible de mon amie ! Les mains douces et fermes reprirent leur lente progression, entraînant le tissu de ma jupe, découvrant totalement la large bande de dentelle noire, jouant maintenant sur la peau de mes cuisses largement dévoilées. La joue de mon amie caressa un instant encore ma jambe sur laquelle elle reposait, remplacée doucement par des lèvres plus douces encore qui m’arrachèrent un ...
... long frémissement quand elles se posèrent sur ma peau, très haut au-dessus du bas sombre. Sans relever la tête, Annie murmura : — Non seulement tu es très belle, mais aussi très douce et j’adore ta peau ! Ses mains avaient continué leur périple, glissant sous le tissu jusque sur mes hanches. Elle releva brusquement la tête et, un sourire carnassier sur les lèvres, s’exclama : — Tu n’as pas honte ? Je te croyais sage bien que très excitante et tu te promènes nue sous ta jupe ! Cela porte un nom : du pousse-au-viol ! Ses mains abandonnèrent mes hanches, glissant sur mes jambes dont elles ouvrirent sans difficulté le compas, découvrant mon joli triangle sombre, taillé avec soin. Un gémissement m’échappa et je me suis cambrée légèrement. Profitant de mon geste, Annie acheva de relever ma jupe sur mon ventre et glissa son fin visage jusque sur mon intimité brûlante. Non seulement je n’ai pas cherché à échapper à la caresse mais je me suis ouverte largement, le bassin en avant, les épaules rejetées en arrière pour m’offrir totalement à la bouche gourmande. La langue experte qui atteignit mon petit bouton de chair sensible m’arracha un léger cri. Les yeux clos, la tête en arrière sur le dossier du canapé, je me mis à onduler au rythme de la caresse, les doigts crochetés dans les cheveux de ma délicieuse tortionnaire. Juste au-dessus de nous, son mari était toujours immobile, admiratif. Il se pencha, posa les mains sur mes seins lourds, aux pointes durcies de désir. Je gémissais sans ...