Après-midi sensuel
Datte: 21/06/2021,
Catégories:
ff,
ffh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
69,
couple+f,
... éclair étrange, alors que mes joues rosissaient imperceptiblement. Il contourna le canapé, se pencha par-dessus mon épaule pour admirer les photos en même temps que moi. — Je n’ai même pas eu le temps d’en profiter, vous en avez la primeur. Je ne vous gêne pas ? dit-il en riant. J’ai tourné le visage vers lui, souriante : — Pas du tout ! Par contre, je dois dire qu’elles sont splendides ! répondis-je. Dans mon geste, mon chemisier avait légèrement glissé sur mon épaule et baillait largement sur mes seins lourds, fermes, nus dans le vêtement. J’ai surpris son regard mais n’ai rien fait pour lui cacher le spectacle. D’ailleurs son regard, maintenant, glissait alternativement de ma poitrine jusqu’à mes jambes sur lesquelles la main de son épouse errait par instants. Il pouvait aussi profiter de la vision plongeante dans le décolleté de sa femme, dont le contenu, plus modeste, n’en était pas moins particulièrement suggestif et attirant. Quelques minutes encore nous avons admiré, en riant des commentaires d’Annie, toute une série de photos. Brusquement, l’espace de quelques secondes, un silence pesant envahit la pièce. Le rose aux joues, je fixais une page de l’album que mon amie venait de tourner. Celle-ci y apparaissait, souriant à l’objectif, debout, légèrement cambrée et… totalement nue ! Ses petits seins fermes pointés vers le ciel, son ventre à peine bombé, ses hanches fines et un imperceptible triangle brun fermant le compas de ses jambes sveltes et élancées. Mon regard ...
... troublé la fit sourire : — Oui, c’est bien moi et je n’ai pas honte du tout de poser nue ! Cela te choque ? dit-elle gentiment. J’ai plongé mon regard dans les yeux gris bleu de mon amie. Je ressentais à nouveau le trouble étrange du premier soir. — Non, pas choquée, murmurai-je, d’ailleurs tu es très jolie et puis, moi aussi il m’est déjà arrivé de poser nue pour mon mari. Annie tourna encore quelques pages où elle offrait son corps délicieux aux caprices de l’objectif. Ses poses, ses attitudes, son regard et son sourire laissaient deviner sans peine qu’elle éprouvait un réel plaisir à s’offrir ainsi aux regards dans toute son impudeur sensuelle. Son mari, immobile, observait nos réactions avec attention, silencieux et souriant. Un frémissement me secoua, ma respiration se fit plus rapide, faisant saillir ma poitrine aux pointes durcies sous le tissu du chemisier dont l’échancrure se faisait toujours complice des regards masculins, de plus en plus attentifs et indiscrets. — Toi aussi tu dois être très belle, souffla la maîtresse de maison, surtout bien plus attirante que moi, sensuelle, excitante… Tout en prononçant ces quelques mots d’une voix rauque, elle laissa ses mains glisser sur mes mollets, puis remonta vers mes genoux en une lente caresse. Parvenue à l’album, elle le fit basculer sur le canapé, découvrant l’amorce de mes cuisses sur lesquelles elle posa la joue. J’ai tressailli mais n’ai pas réagi. J’étais fascinée par les mains douces qui progressaient lentement sur ...