Sodomie : initiation et addiction
Datte: 22/06/2021,
Catégories:
hh,
grossexe,
Collègues / Travail
collection,
hsoumis,
hsodo,
init,
confession,
J’ai toujours eu la tentation d’essayer la sodomie. Comme pour beaucoup, le premier essai fut avec des bougies, des carottes ; intéressant : la sensation que quelque chose était possible. L’ayant pratiquée avec plusieurs copines qui ne semblaient pas trop s’en plaindre, donc l’idée me prit d’essayer en vrai. En vrai : oui, vrai de vrai. Ma première rencontre fut sur Paris. Intimidé, il était jeune, beau, absolument gay ; et moi, hétéro, marié, je fus un peu désorienté par ce contact. Néanmoins j’ai accepté d’aller chez lui. Là, j’avais amené une bouteille de whisky pour décontracter l’atmosphère, et surtout me décontracter moi. S’ensuit une longue discussion ; c’était surtout lui qui parlait, du monde homosexuel sur Paris, des clubs, etc. Intéressant, mais je n’étais pas vraiment preneur. Au fil de la discussion, on a fini par se toucher un peu, puis beaucoup, et finalement j’ai demandé comment on fait. — C’est simple : enlève ton pantalon et mets-toi à genoux sur le canapé. Chose faite, pas de préparation. En fait, un tout petit sexe ; j’ai eu mal, mais pas de trop. Je l’ai senti ; il est sorti, revenu, et c’était fini. À peine le temps de se retourner, il me dit : — Bon, j’ai des tucs à faire à Paris, je dois sortir.— OK, pas de problème. Je me suis retrouvé dans la rue, à la fois me disant« Ça, c’est fait ; mais bon, j’avais eu le fantasme d’autre chose. » Les choses en sont restées là, mais l’envie est revenue quelques mois plus tard. Après bien des recherches, ...
... j’obtiens un rendez-vous dans la banlieue Est de Paris dans une rue, près d’une cabine téléphonique. Coup de chance, je peux me garer pas trop loin. L’heure passe. Alors que je suis en train de penser à un lapin, un monsieur très bien habillé, très classe, d’un certain âge, les cheveux tout blancs, toque à ma fenêtre : — C’est toi André ?— Oui, c’est moi.— Si tu es toujours d’accord, viens, suis-moi ; j’ai peu de temps. En moi-même, je me dis« Il est vraiment vieux ; mais bon, tu as voulu, alors on y va. » Je le suis dans une ruelle en me demandant bien où il m’emmène ; en fait, il ouvre une porte métallique et on entre dans une usine ressemblant à une usine de nettoyage de linge. — Tu travailles là ?— Oui, c’est mon usine. S’ensuit un dédale de couloirs, et on arrive dans son bureau. Il s’installe dans son fauteuil, me regarde d’un air autoritaire, et finalement baisse son pantalon jusqu’aux genoux. — Allez, fais voir ce que tu sais faire ; suce-moi ! Le ton est ferme, digne d’un patron qui a habitude de donner des ordres. Je n’ai jamais sucé d’hommes. Je m’approche. — Mets-toi à genoux, tu seras mieux. Son sexe est tout mou. Je le prends en bouche ; il a un goût de savon : il a dû se laver avant. Je suce comme je peux ; comme il est mou, dès que je recule la tête, il m’échappe. Je le reprends. — Allez, vas-y, suce. Finalement il me prend la tête avec les deux mains et me l’appuie sur son sexe ; je sens que cela commence à grossir. Il soupire, et cela grossit, grossit, encore et ...