1. Sodomie : initiation et addiction


    Datte: 22/06/2021, Catégories: hh, grossexe, Collègues / Travail collection, hsoumis, hsodo, init, confession,

    ... encore. Finalement, je l’ai au fond de la gorge, je hoquète ; sans ménagement, il me secoue la tête avec ses mains et me le met très profond. Je ne sais plus trop où j’en suis, mais vu les douleurs que j’ai dans les maxillaires, je commence à penser qu’il est très gros, très dur, et que – vu que je sens mes dents l’érafler – il n’a pas l’air vraiment sensible. Au bout d’un bon moment, il me libère la tête. Ouf ! Je peux respirer. Ce que je vois devant mes yeux, c’est une bite énorme, dure comme du bois. À peine le temps de respirer, il me la renfourne dans la bouche jusqu’au fond, en me tenant très fermement la tête. — Allez, vas-y. Suce, salope ! Je trouve bizarre de me faire traiter de salope, mais petit à petit j’entre dans ce rôle. Finalement, il me relève la tête, regarde sa bite, me regarde. Bêtement, je lui dis : — Tu vas me mettre tout cela ? Il me dit : — Bien sûr ; t’es là pour ça. Il ouvre son tiroir, en ressort un préservatif, le déplie, l’écarte et s’en recouvre délicatement, sort un flacon de gel s’en enduit le sexe. — Bon, alors, qu’est ce que tu attends ? Je suis là à ne trop savoir que faire. — Baisse ton pantalon et retourne-toi. Je m’exécute. Il reste assis, m’attrape par les hanches et me force à reculer et m’asseoir sur son sexe. Je sens son gland posé sur mon anus ; il tire pour que je m’empale dessus.« Aïe ! » Une sensation de déchirure, une grosse douleur. Je me dégage. — Fais pas ta chochotte. Une grosse baffe sur les fesses et il m’attire à nouveau ; ...
    ... on réessaie. « Ouille ! Ouille ! Mal. Trop mal. » J’avoue en me relevant : — Ça ne passe pas.— De toute façon, toi, tu vas y passer… Il me pousse vers son bureau, me force à m’allonger à plat-ventre dessus, à écarter les jambes autant que mon pantalon aux pieds me le permet, me prend les bras, me les croise dans le dos, et me les tient fermement. Je suis pris, immobilisé. En plus, il est costaud. Et là, il me met une volée de claques sur les fesses, de toutes ses forces. J’essaie de me dégager en relevant les jambes, mais il a tout prévu : en fait, il marche sur mon pantalon entre mes jambes ; je ne peux pas les relever. Il arrête de me frapper et je sens son gland sur mon anus. — Allez, t’es gentil maintenant. Je vais te la mettre. Maintenant il me tient les bras croisés dans le dos avec ses deux mains tout en m’appuyant sur le bureau de toutes ses forces, mes jambes immobilisées par son pied sur mon pantalon, son gland sur mon anus. Et il pousse. Je gémis : — Doucement, doucement s’il te plaît, doucement…— T’es là pour te faire enculer : je vais t’enculer. Doucement, doucement, je me plains. Inexorable, je le sens pousser. Mon anus me fait mal, une douleur aigüe, brûlante. Il relâche la pression ; cela va mieux. Bêtement, je lui demande : — Tu me l’as mise ? Vu la douleur, je croyais l’avoir eue. — Non, c’était le début. Maintenant je vais te la mettre. Il recommence à pousser, et la douleur devient insupportable, au paroxysme de ce que je pense être supportable. D’un seul ...