Sodomie : initiation et addiction
Datte: 22/06/2021,
Catégories:
hh,
grossexe,
Collègues / Travail
collection,
hsoumis,
hsodo,
init,
confession,
... coup mon corps se rend, et au lieu de se défendre contre l’intrusion, je le sens s’ouvrir presque magiquement, s’offrir. Mes fesses s’écartent d’elles-mêmes, mes reins se creusent, et je sens ce pieu s’enfoncer inexorablement en moi. Je crie, je pleure, j’ai mal. Il est à fond ; je sens son ventre appuyer sur mes fesses. J’ai le souffle court, haletant. — Maintenant je vais te baiser. Et il commence des va-et-vient, et cela vient comme une onde de chaleur ; je me demande ce que c’est. Mon anus se contracte, et d’un seul coup je jouis, je crie. Il accélère, et je deviens femelle ; j’ai mal, je jouis, je crie « Encore, encore ! » Cette sensation de l’orgasme anal que je viens de découvrir, je la reveux. Mon corps en veut encore, tout mon être la veut, et il m’en donne encore de toutes ses forces. Il ne me tient plus les bras dans le dos, je ne me défends plus, je suis à lui, offert ; il me tient au bout de sa bite. J’entends une voix crier de bonheur ; je me rends compte que c’est la mienne. Mon bassin se soulève tout seul pour se mettre à sa disposition. Je sens son sexe en moi, dur, implacable, qui me remplit d’extase ; je n’en reviens pas que l’on puisse avoir autant de ...
... plaisir… Il me saisit par les cheveux, me tire la tête en arrière, et de toutes ses forces se fiche en moi. Je ne sais pas ce qui se passe, mais je sens son sexe grossir encore, dur comme du fer. Avec un grognement de bête, je ressens un vigoureux tressautement de sa bite dans mon fondement ; je suis surpris par un orgasme encore plus fort. Je suis complètement offert ; son coup de bassin tel un taureau me soulève les pieds du sol. Et encore un, et encore un ! Puis, crescendo descendant ; mon bassin recule instinctivement pour rechercher les à-coups qui diminuent les uns après les autres. Puis cela s’arrête. Je sanglote : — Encore… Encore, s’il te plaît. Il se retire ; c’est fini. Le temps passe. Je me relève, vacillant. Il est déjà rhabillé ; le préservatif gît au milieu de la poubelle. Je remonte mon pantalon. Machinalement, je tends la main vers son entrejambe ; je touche. Je balbutie : — C’était bon ! Tu m’as eu ; encore, sil te plaît…— Désolé : j’ai fini, et j’ai plein de choses à faire. Maintenant, on reprend contact si tu veux. On est sorti. Comme un automate, je suis revenu à ma voiture. En roulant je me suis dit… Non, je me suis rien dit. Je me suis simplement dit « Encore… »