1. Une première fois « bi »en singulière (1)


    Datte: 23/06/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    Ce récit étant mon premier et ma vie sexuelle découlant entre autre de cette première expérience, j’ai pensé judicieux de vous la décrire précisément. Etant de nature libertine et n’ayant peu de tabous, ce ne sera certainement pas mon dernier récit. Merci de votre clémence. Histoire vécu, dans les moindres détails, seuls les prénoms changent. Les personnages : Nadine, la cinquantaine, petite femme douce et rieuse d’un embonpoint certain, plutôt de petite taille, une crinière rousse et longue. Robert, le mari de Nadine, Pré retraité bourru, grosse barbe grise, un homme d’une répugnance sans équivoque qui n’a d’égal que l’absence de sa sympathie et la taille 56 de son pantalon. Magalie, leur fille, femme d’Henri mon demi-frère, une ménagère de 35 ans environ, grassouillette à souhait et à l’hygiène apparente peu flatteuse. Johan, un jeune adulte qui découvre le monde sexuel, ou du moins qui va le découvrir, pas très grand, pas très beau, pas vraiment sportif, moi tout simplement. Je m’appelle Johan et depuis aussi longtemps que je m’en souvienne, la séduction a toujours été un problème sensible dans ma jeune vie. J’ai grandi à la campagne, loin de toutes commodités au sein d’un foyer chaleureux, baigné d’amour et de respect. Le départ du collège trois ans auparavant marqua sans aucun doute possible un virage important de mon existence. J’étais ce que l’on pourrait appeler une boule, je roulais mieux que je ne courais : 1.45m un bon 80kg, un visage quelconque, pas du tout le ...
    ... profil d’un ado qui ferait des ravages dans un établissement scolaire au sein de la gent féminine qui découvre de leur anatomie. Et lorsque l’on sait toute la méchanceté et les moqueries qui peuvent régner en maitres à cette période entre camarades de classe, mon expérience de jeune étudiant peut être qualifiée de mitigée. Mes parents ont 15 ans de différence, ma mère étant au départ une amie de la première fille de mon père, à l’époque marié avec quatre enfants, ce qui explique peut-être en partie que les relations intergénérationnelles m’ont toujours attiré ou tout du moins interpellé. D’ailleurs ce n’était pas rare que lorsque la cousine de ma mère, une femme de 50 ans très ronde dormait à la maison, je m’arrangeai pour lui dérober une de ses culottes. C’était une femme très surfaite, trop maquillée, des bijoux de pacotille en trop grand nombre, une poitrine énorme, elle transpirait le sexe cette femme, à chaque regard ou chaque fois qu’elle ouvrait la bouche, je prenais cela pour une invitation au viol. Je m’attardais donc dans mon bain en compagnie du doux tissu récemment dérobé. S’en suivaient de longues masturbations intenses et abondantes et venaient inévitablement souiller davantage les dessous de cette tante si spéciale pour moi. Je remettais ses culottes nouvellement immaculées dans son sac et attendait patiemment sa prochaine venue. Mais cela donnera surement l’occasion d’écrire une nouvelle histoire. De l’union de mes parents sont nés deux enfants, ma sœur Aurélie ...
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