Une première fois « bi »en singulière (1)
Datte: 23/06/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... c’est vrai, ils sont comme çà les parents. Ecoutes pour être toute à fait franche, tu ne peux pas m’aider ici, la cuisine est déjà presque trop petite pour moi ! » comme son tablier me dis-je dans un éclair de répartie. — - Mais va donc voir Robert, je crois qu’il doit être dans la grange à essayer de sortir les tables et les chaises pour le repas de ce midi, sinon tu peux rejoindre ton frère, il est en train de pêcher à la rivière. En effet nous serions une tablée d’une quarantaine de convives et je me doute de ce qui m’attend. Je ne suis pas très emballé mais j’y vais quand même en pensant que mon frère a senti le coup venir en s’expatriant du côté du cours d’eau qui se trouve à quelques centaines de mètres de la maison. Je m’approche de la grange et passe devant la voiture de mon frère, et j’hésite franchement à le rejoindre. J’entends alors geindre dans la grange, je me dis alors que Robert doit franchement s’embêter seul à désencombrer la remise pour atteindre des tables et des chaises qui doivent pliées sont le poids d’une poussière propriétaire de ce genre de lieu. Je ne l’apprécie pas vraiment mais étant de nature prévenant, je me dirige vers l’imposante double porte en bois entrebâillée pour l’épauler dans cette tâche. Je me souviens avoir eu la réflexion qu’il était idiot d’avoir de la sorte refermé les portes de ce bâtiment, empêchant le peu de lueur disponible de s’infiltrer à l’intérieur de cet immense foutoir. Plus je m’approche de l’entrebâillement et plus ...
... les plaintes sonores me semblent être véritablement des gémissements, je me surprends même à distinguer deux sons différents, deux tonalités vocales étranges mais très facilement différenciables. Je passe mes doigts sur le battant de porte et agrandit le passage pour me glisser dans l’antre. Des colonnes de cartons et des piles de boites s’entremêlent tels des immeubles de fortunes prêts à succomber au charme de la gravité se dressent devant moi, mais je n’y prête guère d’attention, mon esprit ne retenant que la mélodie disgracieuse entendue précédemment qui s’est intensifiée maintenant, il me semble même avoir distingué un cri. Celui-ci n’est pas très franc ni net, comme étouffé. Je contourne le rempart qui m’empêche de mettre une image sur les sons que j’entends avec une certaine appréhension de ce qui apparaitra dans mon champ de vision. Les bras m’en tombent, l’image tant redoutée m’apparait : Je reconnais facilement Robert, il est de dos, torse nu ou ventre à l’air plutôt, le pantalon à terre sur ses pieds, se mêlant à la poussière au sol. Je ne vois pas ses mains mais je les devine guidant un va et viens certain. Il gémit. Je suis mélangé entre la honte et la peur, mais aussi par l’excitation que cette vue m’apporte... J’en oublie presque de m’attarder à ma découverte naissante et à vérifier l’identité du second protagoniste de cette irréaliste scène qui git sous mes yeux. Je me penche, et m’accroupis de façon à pouvoir observer attentivement qui se cache derrière les ...