1. Une première fois « bi »en singulière (1)


    Datte: 23/06/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... et moi donc, dernier d’une famille recomposée de six enfants. Les quatre premiers étant déjà adultes, je n’ai jamais vécu qu’avec Aurélie, mon ainée de quatre ans. L’un de mes demi-frères s’appelle Henri, il est en couple avec Magalie et ce jour-là, un samedi de juin comme nous les apprécions tous, c’est l’anniversaire du père de Magalie, Robert... Robert est à mon père ce que la nuit est au soleil, il ne partage rien si ce n’est leur année de naissance. Mon père est d’une gentillesse sans limites, généreux, travailleur, ambitieux, patron d’une entreprise familiale qui marche bien, un homme moderne qui a toujours aidé ma mère aux tâches du foyer. Robert lui est son alter ego, un carreleur à « son compte » qui en vérité, il faut bien l’avouer faisait plus de travaux détournés de la main à la main que développer son entreprise. C’est bien simple, je pense que je l’ai toujours connu en arrêt de travail ! Et bien souvent, lors de réunion de famille ces deux-là se chamaillaient sur le sujet du patronat. Il est de nature très macho, je genre de mari qui restera assis à la table laissant s’activer toute existence féminine autour de lui pour ne pas remuer son corps lourd, massif et gras. C’est bien simple si certains hommes sont taillés en A d’autres en H ou bien pour les plus rebondis en B, alors Robert serait taillé en un B majuscule gargantuesque. Nous sommes donc en avance, mes parents me déposent chez Robert et Nadine pour que je les aide à quelques préparatifs pendant que le ...
    ... reste de ma famille part en direction d’une pâtisserie ne souhaitant pas attendre encore de longues minutes en voiture et m’imaginant rester bien tranquillement chez nos hôtes du jour à profiter de cette belle journée qui s’annonce. Il est environ 10h, et je passe le portail, c’est un vieux corps de ferme sommairement rénové, un jardin plutôt bien agencé et fleuri avec gout, et au bout du terrain se trouve une remise pas des plus rassurantes qui sert de débarrât et de garage. Dans la cour j’aperçois la voiture de mon frère Henri. J’entre dans la maison et j’entends la femme de Robert s’activer dans la cuisine : « - Nadine !? C’est Jo Salut Jo, entre vite je suis dans la cuisine » Je pénètre dans la pièce, la petite ménagère grassouillette s’agite dans tous les sens, je reste sans voix devant l’énergie déployée sous mes yeux. Cette fureur s’oppose à la bonne odeur qui se diffuse au rythme de sa chevelure de feu qui semble nager dans l’air. « - Bonjour Nadine, les parents m’ont posé sur leur chemin, sans doute pour vous filer un petit coup de main. » riais-je. Elle s’approche expressément, et m’embrasse chaleureusement, je sens sa poitrine lourde et qui semble être à l’étroit sous ce tablier venir s’écraser sur mon jeune torse. Mon regard lubrique ne peut s’empêcher de réaliser un matage en règle sur cette vision qui se crée sous mes yeux d’innocent puceau. « - Formidable attention de leur part, cette idée leur ressemble beaucoup, toujours là pour mettre la main à la pâte Oui ...
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