Une première fois « bi »en singulière (1)
Datte: 23/06/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... de fille, regardes comme il faut la gaver la femme de ton frère ! » je réalise alors que cette sublime trainée est effectivement la femme de mon frère Henri. Que mon frangin est cocu, que je vais devoir vivre avec ce secret sous peine de m’attirer les foudres de Robert... R : « Regardes encore, ne baisse pas le regard te dis-je ! » la bête de chair est toujours implantée dans la gorge de Magalie. Et quand enfin il se retire tout aussi rapidement, de longs filets de bave à n’en plus finir coulent des lèvres de cette bouche, les liants à leur sexe géniteur. R : « Dis-lui Magalie !? Dis-lui que t’aimes ça !? » M : « Ouiiiii, j’adore ça ! J’aime me faire démolir la gueule !!! Oh putain c’est trop bon papa ! » Je n’en revenais pas, c’est impossible ! Comment peut-elle aimer cela ? Comment peut-elle l’avouer, l’avouer devant moi ? Le petit frère innocent du père de ses enfants ? R : « Allez maintenant Magalie tu va faire exactement tout ce que je vais dire, comme avec Marco ! » Marco ? Me dis-je... Le seul Marco que je puisse connaitre ayant un lien avec cette famille est Marc le frère de Magalie... Je n’ose y songer, mais après ces dernières minutes plus rien ne me parait impossible. R : « Caresse-lui la queue à ce p’tit jeune, je vois a son short qu’il ne demande que cela... » Elle s’exécute, par réflexe et dégout malgré mon érection, je recule. R : « Restes là petit con ! » Je suis tétanisé. La main de Magalie avance inévitablement vers mon entrejambe pendant que Robert a repris ...
... la délicieuse torture de la gorge de sa fille. Le premier contact est maladroit, je la sens tremblante, hésitante, réticente, mais sous l’emprise du mâle en présence, elle y alla plus franchement, je gémis sous le divin toucher. Robert lui ordonna de ne pas faire sa timide et pendant qu’il lâchait ses ordres il abaissa mon short de sa main gauche, libérant instantanément ma verge pré pubère qui venait à l’encontre des doigts gonflés de Magalie. R : « Haaaaa Haaaaa ! Quelle petite chose ridicule ! Que comptes-tu faire avec cela dans la vie ? » Ses moqueries n’en finissaient pas et je dois avouer qu’intérieurement je lui donnais raison. Mon sexe était bandé à mort et pourtant la simple main de ma récente masseuse suffisait à la faire disparaitre. Seul un gland enfantin et non décalotté surgissait de l’étreinte des doigts de ma maitresse. Mes petites couilles très hautes, légères et lisses souffraient de la comparaison avec la gigantesque sacoche velue qui se balançait au rythme des clapotis que celle-ci créait à chaque rencontre avec le visage de notre divine salope. La situation m’excitait de plus en plus, j’ignorais maintenant volontairement les préjugés qui étaient miens en rentrant dans ce lieu et n’avais aucune notion du temps qui s’écoulait. Même la peur d’être découvert avait disparu et je compris aisément qu’eux aussi n’en avaient plus conscience quand je les ai surpris. C’était décidé, je ne ferai rien pour arrêter cette spirale qui indéniablement allait me conduire à ...